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sciences - Page 7

  • Le festival des sciences de Chamonix - Le Monde est au risque ! - Sur les chemins de l'incertitude - Archives vidéo

    0da6f9af14f146bf606ae6e910c62f56.jpg17e Festival des Sciences


    LE MONDE EST AU RISQUE !
    Sur les chemins de l'incertitude...

    16-19 MAI 2007

    Les archives vidéo du festival sont en ligne : ICI

    J'ai regardé l'excellente intervention de Christian Walter : A l'épreuve du risque : finance et assurance et le non moins brillante présentation de Nicolas Bouleau " Quand le hasard fait sens "

    Quelques extrait de l'intervention de Christian Walter:

    "Un jour est comme mille ans"

    "En finance, il semblerait que beaucoup ( de titres ) ont très peu ( de performances ) et très peu ont beaucoup."

    "L'ensemble du marché est très calme sauf lorsqu'il bouge beaucoup"

    Et la question finale de Nicolas Bouleau:

    "Pourquoi la science n'accepterait-elle pas plusieurs interprétations ?"


    Si vous visionnez d'autres vidéos, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaire.

    Une précédente note sur" les marchés fractals" : ICI

  • La diffusion de la culture scientifique : réalisations et réflexions

    L’accélération de la connaissance scientifique au XXe siècle ne s’est pas accompagnée d’une accélération de la diffusion de cette connaissance auprès du public. Pourtant, Internet et les outils modernes de communication offrent la possibilité d’un vaste partage des savoirs, tout en créant de nouvelles difficultés. Eclipsée par les débats souvent animés sur ses applications, la science fondamentale peine à trouver son chemin vers le grand public.

    La suite de l'article de 6 pages ( PDF ), ICI, par Alexandre MOATTI ( Blog Sciences )

  • Le plus court chemin d'un point à un autre est la ligne droite

    add16e5a1b48bad40492aa4e3f42d6d6.jpg« Le chemin théoriquement le plus court, parce que le plus direct, entre deux points devrait être la ligne droite. Et ce serait la ligne droite, si l’univers était parfaitement plat, plat comme la feuille blanche sur laquelle nous tentons de tracer avec application une droite entre deux points. Mais même cette feuille qui repose sur mon bureau n’est pas entièrement plate, et le trait tracé suit donc la courbure, même infime, imposée par le papier. Concrètement, le plus court chemin d’un point à un autre est une courbe qui s’accorde à la courbure du monde. L’espace abstrait rectiligne, royaume des angles droits, des lignes droites, n’existe pas. »

    Jean-Marc Lévy-Leblond.  Physicien (théoricien), épistémologue (expérimentateur) et “critique de science”, Jean-Marc Lévy-Leblond est également professeur émérite de l’université de Nice, et a enseigné dans les départements de physique, de philosophie et de communication.
    Il est directeur de programme au Collège international de philosophie, directeur des collections scientifiques des éditions du Seuil, et de la revue Alliage (culture, science, technique).

    Une interview de France Culture qui est la dernière archive des émissions " Les évidences universelles ", elle va bientôt disparaître.... Si le sujet vous intéresse dépêchez-vous de l'écouter : ICI

  • Les tsunamis ont eu raison des mathématiques !

    01aa5e04b6dc0cda7b22ebab87806e62.jpgLes écoulements impliqués dans les tsunamis ne peuvent pas être modélisés correctement via des modèles mathématiques, en raison des interactions particulièrement complexes avec les plages, les sédiments, les digues et ouvrages côtiers." Par ailleurs, "les générateurs d'ondes conventionnels n'ont pas permis, jusqu'ici, de simuler un tsunami à cause de la longueur d'onde très grande que cela nécessite de générer."

    Le Royaume-Uni va donc se doter d'un simulateur de tsunamis pour palier cette " faiblesse ", entre autres, mathématique.

    L'article complet : ICI

  • Rapport annuel 2006/2007 sur la science et l'innovation au Royaume-Uni

    Dans le rapport annuel sur l'investissement en science et technologie à dix ans (2004-2014) au Royaume-Uni, le Department for Innovation, Universities and Skills (DIUS, Ministère pour l'Innovation, les Universités et les Compétences) démontre des résultats positifs et des progrès tangibles obtenus au cours de l'année 2006/2007.

    Ian Pearson, Secrétaire d'Etat pour la science et l'innovation, se félicite de cette tendance positive. Selon lui : "le cadre de travail sur dix ans établissait des objectifs ambitieux pour le développement britannique en science et innovation, et l'année qui vient de s'écouler montre des résultats qui rapprochent le Royaume-Uni de ces objectifs, améliorant ainsi l'impact de la science et de l'innovation sur l'économie". Parmi les résultats notables, nous pouvons noter que :
    - le Royaume-Uni conserve sa place de second en termes d'excellence scientifique (indicateurs de production) derrière les Etats-Unis, malgré une compétition internationale toujours plus serrée ;
    - le nombre de jeunes pousses, de licences et de revenus dérivés du conseil, indique que le transfert de connaissance et la commercialisation des activités de la science de base suivent une pente croissante ;
    - l'augmentation des dépenses permet d'améliorer les infrastructures de recherche dans les universités ;
    - la proportion d'élèves atteignant des notes supérieures à la moyenne en mathématiques et science est en augmentation, tout comme le nombre de demandes d'inscriptions dans les disciplines scientifiques en première année d'université ;
    - l'investissement privé en R&D croît en termes réels et se maintient par rapport à la croissance du produit intérieur brut. Le gouvernement souhaiterait cependant observer une augmentation plus rapide de cet investissement pour qu'il atteigne l'objectif à long terme de 2014 ;
    - le Technology Strategy Board (TSB, voir ce même numéro des Actualités scientifiques, p. 18), devenu agence publique non gouvernementale le 1er juillet 2007, voit ses missions de leader accrues, dans le but de tirer vers le haut la performance innovante au Royaume-Uni.

    Source BE.com : ICI