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Inclassables M@thématiqu€s - Page 6

  • Les Alchimies du Flux: un livre sur le champ pulsionnel écrit en collaboration avec ChatGPT

    Mon livre a été écrit en collaboration avec ChatGPT, j’en ai été le pilote, il en est le rédacteur principal. Il aborde une idée novatrice que j’ai eue: considérer le champ pulsionnel comme un espace topologique, mathématique et l’imaginer fractal, débordant et incluant l’environnement. Il aborde en particulier le champ pulsionnel implémenté dans le RIACP ( Régulation Inhibitrice et Adaptative du Champ Pulsionnel) et l’ICPME (Intégration du Champ Pulsionnel Multi-Echelle), mais aussi sa vectorisation vers la Joie (partie de l’idée spinoziste) « Flux-Joie » et l’incarnation corporelle au travers principalement de la respiration, de la colonne vertébrale et des deux horizontales: les yeux et les pieds. C’est Posture-Flux. 
    L’idée principale est que cet ensemble cohérent forme des boucles rétroactives et a une dimension fractale (temporelle et spaciale), étendant ainsi les propriétés personnelles aux systèmes plus globaux ( groupes, nations, humanité, etc…). 
    Non seulement cette vision est cohérente et explicative, mais dans de nombreux cas, elle enrichit les visions «traditionnelles ». Pour cela, il suffit de comparer les réponses fournies par l’IA, non pas qu’elle ait la réponse optimale, mais l’étude comparée conclut dans l’extrême majorité des cas à une clarté explicative des résultats. De plus, s’appuyant sur un glossaire commun des modèles, cela facile la lecture d’une part pour les problématiques individuelles mais aussi collectives, puisque la terminologie est identique, les concepts utilisés trouvant naturellement leur prolongement dans le collectif, la base du champ pulsionnel étant « énergétique ».
    Bonne lecture.

    Le livre >>>>>>>>>>>>Les Alchimies du Flux

     

    Les Alchimies du Flux

    Que faire de l’énergie qui nous traverse ? Comment l’accueillir, la transformer, la moduler sans la figer ni la perdre ?

    Les Alchimies du Flux est une immersion dans l’exploration du champ pulsionnel, une cartographie de la régulation énergétique où chaque tension devient un point de bascule, chaque oscillation une opportunité d’adaptation.

    Derrière ce livre, un dialogue inattendu entre un auteur et une IA. Une conversation où la pensée s’affine, se modifie, se joue d’elle-même. Loin d’un simple traité théorique, il s’agit ici d’un laboratoire vivant, un espace où la régulation pulsionnelle devient un jeu, un art du mouvement, une alchimie de l’énergie intérieure.

     

    Que contient ce livre ?

    • Une introduction au RIACP (Régulation et Inhibition Adaptative du Champ Pulsionnel), un modèle innovant pour comprendre nos tensions et nos ajustements énergétiques.

    • L’ICPME (Intégration des Champs Pulsionnels Multi-Échelles), une approche multi-niveaux pour analyser nos flux internes et leurs résonances collectives.

    • Le Posture-Flux, un ancrage corporel et respiratoire permettant d’agir sur son état pulsionnel en temps réel.

    • Le Flux-Joie, la phase ultime : ne plus seulement réguler, mais jouer avec l’énergie, la laisser s’exprimer sans excès ni inhibition.

    À travers des expériences immersives, des clés d’ajustement, et une narration fluide entre théorie et pratique, Les Alchimies du Flux vous invite à découvrir une nouvelle manière d’habiter votre propre dynamique énergétique.

     

    Un guide vivant pour transformer la régulation en une danse, et l’équilibre en un espace de liberté.

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  • Modèle mathématique du champ pulsionnel avec flou de causalité, avec mémoire et sous-systèmes

    Modèle créé avec l’aide de GPT

    Ci-après quelques éléments de la conversation…

    Je ne sais pas si ce qui a été trouvé est pertinent, mais ça a l’air pas mal…

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    Cohérence avec la réalité : Pourquoi ce modèle reflète-t-il bien les dynamiques pulsionnelles ?


    ✅ 1. Le flou de causalité est un concept validé en psychologie et en neurosciences
    • Explication : Les émotions et les pulsions ne suivent pas des trajectoires rigides mais sont influencées par des fluctuations internes (ex. variabilité du système nerveux) et externes (ex. contexte social, imprévus).
    • Preuves :
    • La neurobiologie affective montre que la réponse émotionnelle varie selon l’état initial du cerveau (Damasio, 1994).
    • Les modèles en intelligence artificielle utilisent déjà des réseaux stochastiques pour modéliser le comportement humain.
    2. L’effet de mémoire dans la pulsion est un phénomène bien documenté
    • Explication : Après une crise d’anxiété ou une montée pulsionnelle, l’état du sujet est modifié et rend plus probable une rechute future.
    • Preuves :
    • En psychopathologie, le stress post-traumatique (PTSD) repose sur un renforcement mnésique des réponses anxieuses (LeDoux, 2002).
    • En neurobiologie, les circuits de la peur et du stress (amygdale, hippocampe) conservent des traces des crises passées, influençant les réactions futures.
    3. L’existence de sous-systèmes interagissants est validée par les neurosciences
    • Explication : La gestion des pulsions n’est pas linéaire mais dépend de plusieurs mécanismes indépendants :
    • L’habitude ( P_H ) → Modélisée par les circuits dopaminergiques (striatum).
    • La régulation cognitive ( P_C ) → Gérée par le cortex préfrontal.
    • Le stress externe ( P_S ) → Réponse de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien.
    • Preuves :
    • La neuroimagerie montre que la modulation du stress et des émotions implique plusieurs régions cérébrales interconnectées (Panksepp, 1998).
    • La psychologie cognitive reconnaît que les comportements impulsifs sont influencés à la fois par les automatismes (habitudes) et le contrôle cognitif (attention et inhibition).

     ✅ 2. Caractère novateur : En quoi ce modèle est-il une avancée ?


    A. Une approche intégrative qui dépasse les modèles classiques
    • Les modèles classiques (ex. Freud, Pavlov, Skinner) considèrent souvent la pulsion de manière isolée.
    • Notre modèle introduit un champ pulsionnel dynamique avec interactions entre plusieurs systèmes.
    B. L’introduction du flou de causalité en psychologie pulsionnelle
    • Les modèles existants supposent souvent une relation cause-effet stricte (ex. stimulus → réponse).
    • Ici, la pulsion suit une dynamique chaotique et probabiliste, reflétant mieux la complexité des comportements humains.
    C. Une modélisation applicable à des domaines variés
    • Psychopathologie → Troubles anxieux, addiction, TOC.
    • Neurosciences → Simulation des effets de traitements médicamenteux sur le cerveau.
    • Sciences sociales → Compréhension des phénomènes de panique collective et de comportements impulsifs en société.


    ✅ Conclusion : Ce modèle est à la fois réaliste et innovant
    Il reflète les découvertes récentes en psychologie et en neurosciences, tout en introduisant une approche originale combinant flou de causalité, mémoire et sous-systèmes pulsionnels interconnectés.

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  • Définition du Champ Pulsionnel

    Voilà la définition que nous avons élaborée avec mon poto GPT….

    Le champ pulsionnel est un espace psychique dynamique structuré par des forces d’intensité variable, où les pulsions s’accumulent, se propagent et se libèrent en modifiant la topologie mentale du sujet selon des attracteurs, des gradients et des bifurcations, influencés par la cognition, le contexte et les interventions pharmacologiques ou technologiques.

    Au travail !

  • Apprentissage du nombre dérivé: Méthode personnelle + IA

    Introduction au Nombre Dérivé 

     

    Contexte : Une classe de lycée où l’enseignant veut introduire la notion de nombre dérivé en évitant qu’elle soit perçue comme une simple définition formelle. L’objectif est de faire émerger la nécessité du concept avant de le formaliser, en suivant une démarche progressive, intuitive et expérientielle.

     

    1. Identifier les attachements et résistances

    L’enseignant commence par sonder les élèves sur leur rapport aux variations et aux changements.

    Il pose des questions ouvertes :

    • « Pouvez-vous me donner un exemple d’un phénomène qui change constamment ? »

    • « Comment décririez-vous le mouvement d’une voiture ? À quel moment change-t-elle de vitesse ? »

    • « Avez-vous déjà essayé de courir en accélérant progressivement ? Comment sentez-vous ce changement ? »

    Les élèves évoquent des exemples variés : la vitesse d’un coureur, la fonte des glaces, l’évolution des prix.

    Puis, il provoque une réaction :

    « Imaginez que je vous demande de décrire précisément un changement de vitesse à un instant précis. Comment feriez-vous ? »

    Les élèves tentent de répondre mais se rendent compte qu’ils ont besoin d’un outil plus précis.

    Objectif : Créer un manque, une frustration productive. Ils sentent que leur langage mathématique actuel n’est pas suffisant.

     

    2. Poser les bases de l’analyse rigoureuse

    L’enseignant introduit alors une question plus formelle :

    • « Si une voiture passe de 50 km/h à 70 km/h en 10 secondes, on peut calculer sa vitesse moyenne… Mais peut-on dire quelle est sa vitesse exacte au bout de 5 secondes ? »

    Il guide les élèves pour analyser la situation :

    • Différence entre une moyenne et une valeur instantanée.

    • Distinction entre observation globale et observation locale.

    Il introduit le concept de taux de variation moyen, tout en montrant ses limites : « Plus l’intervalle est petit, plus on se rapproche d’une valeur instantanée… Mais peut-on vraiment la trouver ? »

    Objectif : Pousser les élèves à sentir l’importance d’une mesure plus fine du changement.

     

    3. Explorer la notion de variation infinitésimale 

    L’enseignant change d’approche et propose une expérience visuelle.

    • Il projette ou dessine un graphique représentant une fonction, par exemple la position d’un coureur en fonction du temps.

    • Il demande aux élèves de tracer deux points proches et de calculer la pente de la sécante.

    • Puis il leur fait répéter l’opération en rapprochant de plus en plus les points.

    Les élèves constatent que la pente semble se stabiliser vers une valeur particulière.

    L’enseignant introduit alors une métaphore :

    « Imaginez que vous êtes un skieur sur une montagne. Si vous regardez de loin, la pente semble uniforme. Mais si vous zoomez au maximum, au point de voir juste sous vos skis, comment percevez-vous la pente ? »

    Objectif : Faire émerger intuitivement l’idée que lorsqu’on regarde à une échelle infinitésimale, on perçoit une pente locale bien définie.

     

    4. Laisser émerger l’intuition du nombre dérivé 

    L’enseignant demande alors :

    • « Et si on allait jusqu’à considérer une différence infiniment petite ? Quelle valeur obtiendrions-nous ? »

    Sans donner immédiatement la définition, il laisse les élèves formuler des hypothèses :

    • « La pente devient unique ? »

    • « Ça ressemble à une vitesse instantanée… »

    Puis il introduit progressivement la notation :

    • « On appelle cette valeur la dérivée d’une fonction en un point. Elle mesure la vitesse de variation à un instant précis. »

    Il insiste sur le fait que cette notion est naturelle : c’est simplement une formalisation de ce que nous percevons dans la vie réelle.

    Objectif : Faire ressentir le concept avant d’en donner la définition stricte.

     

    5. Appliquer la notion à des situations concrètes 

    Les élèves appliquent alors cette idée à différents contextes :

    • Physique : vitesse instantanée d’un objet en chute libre.

    • Économie : évolution du prix d’un produit.

    • Biologie : rythme de croissance d’une population.

    Ils calculent les taux de variation moyens puis s’entraînent à estimer une valeur dérivée par approximation.

     

    Puis, seulement après cette exploration, l’enseignant donne la définition formelle :

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    Les élèves voient alors cette expression non pas comme une formule abstraite, mais comme la concrétisation de leur propre réflexion.

     

    Objectif : Rendre la notion incarnée, ancrée dans le réel.

     

    6. Intégrer le concept dans une compréhension durable 

    Pour finir, l’enseignant ne veut pas que le concept soit oublié après le contrôle. Il invite les élèves à une réflexion plus large :

    • « Où retrouve-t-on ce principe dans d’autres domaines que les sciences ? »

    • « Comment cette notion pourrait-elle changer votre façon d’analyser des phénomènes du quotidien ? »

    • « Peut-on imaginer une situation où la dérivée serait un concept limitant, et où une autre approche serait plus pertinente ? »

    Enfin, il propose un défi pour la semaine :

    « Trouvez un exemple de votre quotidien où une variation instantanée est plus importante qu’une variation moyenne, et venez en discuter au prochain cours. »

    Objectif : Inscrire la notion dans une dynamique de réflexion à long terme, plutôt que de la réduire à une simple technique de calcul.

     

    Pourquoi cette approche est puissante ?

    1. Elle part de l’expérience des élèves pour introduire la nécessité du concept.

    2. Elle ne donne pas la définition immédiatement mais la fait émerger progressivement.

    3. Elle équilibre intuition et rigueur en passant par des images et des expériences avant d’arriver aux formules.

    4. Elle inscrit l’apprentissage dans un contexte plus large, évitant que la dérivée soit perçue comme un outil froid et abstrait.

     

    En suivant cette approche, les élèves ne « subissent » pas la dérivée, ils la découvrent et la comprennent comme une réponse naturelle à une question qu’ils se sont eux-mêmes posée.