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Amours hiéroglyphiques
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Faites les lire. Pour en finir avec le crétin digital de Michel Desmurget
C’est un livre exceptionnel à mettre en toutes les mains, surtout celles des parents…
Ma citation extraite du livre, tout à la fin :
« Lorsque je regarde en arrière, je m’aperçois que mes premières années ont cumulé l’ensemble des leviers positifs identifiés par la littérature scientifique. Le point est essentiel parce qu’il confirme qu’on ne devient pas lecteur par hasard. On le devient par acculturation, c’est-à-dire « adaptation à la culture environnante ». Autrement dit, pour une large part, c’est l’importance donnée au livre dans le milieu familial qui permet à l’enfant, presque à son insu, de devenir lecteur. »
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Vivons-nous dans une simulation ? Une potentielle nouvelle loi de la physique soutient cette idée
S’immisçant dans les complexités de la physique et de la philosophie, la seconde loi de l’infodynamique, récemment proposée, propose une nouvelle perception de l’univers en liant information et dynamique systémique. Cette loi, avec son potentiel à étayer la « théorie de l’Univers en tant que simulation informatique », soulève des implications tant sur le plan scientifique que philosophique, ouvrant ainsi un dialogue entre la réalité perçue et les caractéristiques potentiellement simulées de notre univers.
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Rencontres
Myriades envahissantes, salicornes aux élégies haletantes
Vous épandez mes pensées, qu'aux gouffres se repentent
Les marées miséricordieuses sous le ressac intolérant.
Que la vase m'emporte le torrent
À l'assaut de Venise la joueuse,
Dans le chenal évanescent à l'avancée sableuse
Aux tortueux méandres des canaux
Se joint la fureur vive de la chaux
Heureux sémaphores,
Pieds en eau, têtes en l'air
Qui se voulant trop grands, trop forts,
N'ont d'autres desseins que luminaires
Agitateur au petit bocal,
Quel déluge, cette bataille navale !
Je me noie à mesure que je bois
Dans cet incessant bouillon brûlant de poix
À l'assaut de mes pensées tapageuses,
Je Don Quichotte aux moulins d'été.
La nature est bien ravageuse.
Rides aux cendres de blés
Adieu Bellifontaine qui traverse le mil
Aux fils des siècles et des ciels
Tu tisses ma lascive toile bien indocile,
Je suis englué tout entier en ton miel.