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tice - Page 8

  • Issuu pour lire et transporter les pdf

     

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    Je viens de découvrir Issuu qui permet une lecture agréable de fichiers  PDF. Il vous permet aussi d'ouvrir un compte et de devenir votre propre éditeur. J'ai utilisé cette possibilité pour... publier une correction manuscrite de DS réalisée par une élève. Je trouve le résultat plutôt intéressant... J'ai noté certaines lenteurs et des difficultés d'affichage de mes fichiers uploadés, la version est encore béta.

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  • Le livre numérique de l'environnement et du développement durable

    Offrir une vision globale et cohérente du fonctionnement de notre planète, tel est l'objectif de ce nouvel outil numérique. L'ouvrage constitue une véritable introduction aux Sciences de l'environnement et du développement durable. Près de 80 scientifiques, tous experts dans ce domaine, ont participé à sa conception. Destiné aux étudiants de niveau Licence ainsi qu'au public averti, cet ensemble, unique en France, s'avère également un excellent outil de formation pour les enseignants du primaire et du secondaire. Il est en libre accès.  

    Créée sous l'impulsion de la Sous-Direction TICE, Service des Technologies et des Systèmes d’Information du Ministère de l’Education nationale (SDTICE). L'Université Numérique Thématique Environnement et Développement durable prend le nom d'UVED (Université Virtuelle Environnement et Développement durable) et est à l'origine de ce projet.

     

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    Les quatre entrées du livre:

    1. CHANGEMENTS GLOBAUX

    2. DYNAMIQUE DES RESSOURCES NATURELLES

    3. ANALYSE ET GESTION DES RISQUES

    4. INSTITUTIONS ACTEURS SOCIETES ET TERRITOIRES

    Pour consulter  l'ouvrage, c'est ICI

    On y trouvera en particulier pour la partie qui nous intéresse ici :

    Le monde réel est-il prédictible ?
    La première de ces limitations est intrinsèque au système climatique lui-même : ce n’est tout simplement pas un système entièrement prévisible. Cette caractéristique est associé à une propriété mathématiques des équations, qui ne sont pas linéaires, et mélangent les échelles de temps et d’espace. C’est d’ailleurs pour cela qu’elles ne peuvent se résoudre de manière analytique, et que le recours à l’ordinateur est indispensable. Il existe ainsi une limite de prévision particulièrement courte pour la composante atmosphérique : à échéance de dix jours environ, l’évolution météorologique ne peut plus être prédite, parce que le caractère instable de l’écoulement a répercuté à l’ensemble du globe une toute petite erreur initiale. C’est l’effet bien connu, découvert par Edward Lorenz en 1963, popularisé sous le nom d’« effet des ailes de papillon » : il exprime que toute perturbation, aussi minime soit-elle, modifie irréversiblement l’histoire de l’atmosphère. Certaines composantes du système climatique, telles la végétation, présentent également une complexité intrinsèque qui résulte plutôt de la diversité des processus qui entrent en compétition : il est ainsi impossible de prévoir avec certitude l’évolution de toutes les essences d’un massif forestier et leur impact climatique en retour. Mais ces incertitudes ne signifient pas qu’aucune information ne puisse être obtenue sur l’évolution du climat. Plusieurs processus guident ainsi les mouvements de l’atmosphère ou de la végétation, et organisent leur comportement. Certains sont externes au système climatique, tels les fluctuations du rayonnement solaire incident, par exemple à l’échelle saisonnière, ou les émissions de gaz à effet de serre par les activités humaines. D’autres sont internes et correspondent aux composantes lentes du système climatique, telles que l’océan, ou les grands glaciers, qui organisent son évolution à des échelles allant de quelques années (pour les couplages de l’océan tropical avec l’atmosphère) à quelques milliers d’années.

    Les modèles sont-ils perfectibles ?
    Les modèles ont subi au cours des années récentes une évolution très importante vers un réalisme accru, qu’il s’agisse d’une augmentation de la résolution spatiale ou encore l’intégration d’un ensemble de processus de plus en plus grand. Ce processus n’est pas achevé. Les modèles sont encore le plus souvent des modèles physiques, qui négligent les composantes biologiques ou chimiques du climat, dont le rôle essentiel apparaît pourtant de plus en plus clairement. Les aérosols soufrés, par exemple, ont été reconnus comme l’un des facteurs importants susceptibles de masquer, dans l’hémisphère nord tout au moins, les manifestations initiales de l’effet de serre. La teneur atmosphérique en CO2 dépend aussi d’un cycle complexe où interviennent à la fois la formation du phytoplancton ou du zooplancton dans les océans, et la photosynthèse ou la respiration de la végétation continentale. On sait qu’une moitié seulement du CO2 émis par les activités humaines reste dans l’atmosphère, le reste étant repris par les océans ou la biosphère. La chimie du méthane, de l’ozone constitue aussi un ensemble de processus complexes qui intègre peu à peu les modèles pour former ce que l’on a appelé plus haut les modèles du « Système terre ».
    L’accumulation de ces éléments de complexité pose problème. On pourrait même dire, en forçant le trait, que plus la recherche progresse, plus se révèle l’énorme complexité des processus qui participent à l’évolution de notre environnement, et plus s’éloigne la possibilité de prévoir en détail l’évolution future du climat. Mais en même temps, et de manière apparemment contradictoire, la capacité d’expertise face à ce système a considérablement augmenté, et le niveau de certitude quant à la réalité du réchauffement futur est devenu beaucoup plus grand. La variété des processus dont le rôle a été étudié qualitativement est désormais très grande. Ainsi le fait que des modèles toujours plus nombreux et sophistiqués indiquent sans exception un accroissement de température important dans le futur constitue une indication très forte. En dépit de la complexité du système étudié, de la diversité des pays et instituts engagés dans la recherche sur le climat, de la diversité des modèles, de l’effet de publicité énorme qui serait attaché à un tel travail, personne n’est parvenu à mettre au point une expérience numérique crédible conduisant le système climatique à ne pas se réchauffer en réponse à l’augmentation des gaz à effet de serre.



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  • Archimy.com pour construire des graphiques 2D et 3D en ligne

    Construire un graphique 2D ou 3D avec Archimy est un jeu d'enfant. Pour connaître la syntaxe, lancez un exemple. Vous pouvez éditer le code HTML du résultat et vous amuser avec. Je ne parviens pas à l'importer sur ce blog mais ça marche sur cet autre blog : ICI.

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  • Maths et TICE en lycée : Brochure de l'APMEP à télécharger

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    Téléchargez la brochure "Maths entre Ecran et Papier" réalisée par Jacque Lubczanski et Isabelle Lallier Girot. Elle comprend 19 activités TICE de lycée pour la classe, 4 pour les secondes, 7 pour les premières et 8 pour les terminales, ou du moins faisant intervenir les notions de ces classes. Elles s'appuient sur, le tableur d'Open Office, Geogebra ou la calculatrice.

  • A quoi peut servir Internet en Mathématiques ?

    En mathématique, il met à la disposition des enseignants et des élèves des ressources complémentaires et fait apparaître de nouveaux usages pour l'enseignement.
    L'expérimentation de ce moyen de communication permet actuellement de distinguer différentes pistes d'utilisation en mathématiques, dont voici quelques exemples :

    • un outil de recherche :
      • de documentation concernant par exemple :
        • l'histoire des mathématiques, différents thèmes étudiés dans le cadre des travaux de recherches, des itinéraires de découverte;
        • des textes officiels concernant la discipline.
      • de données numériques exploitables par exemple en statistiques sous tableur;
    • un outil de communication permettant des échanges :
      • entre enseignants;
        séquences de cours, figures de géométrie, liste d'exercices, comptes rendus d'activités...
      • entre professeurs et élèves :
        questions et réponses , documents et fichiers pour introduire une notion, corrections d'exercices...
      • entre élèves, entre classes :
        description de figures géométriques, élaboration d'une démonstration, création d'énoncés de problèmes et résolution, enrichissement d'une base de données statistiques commune...
      • dans le cadre des liaisons entre écoles pour la réalisation de projets ;
      • dans le cadre de la formation.
    • des ressources en ligne :
      • logiciels fonctionnant en ligne;
      • images animées interactives permettant d'illustrer des notions mathématiques;
      • activités interactives;
      • résumés de cours, exemples de progression, exercices, exercices d'entraînement, tests pour les élèves, rallyes et concours, jeux, énigmes;
      • aide aux élèves...


    L'utilisation d'Internet peut devenir un outil en support à l'apprentissage de la mathématique: didacticiel bien utilisé, communication, partage, publication, simulateur, saisie de données, effectuer de grands calculs, support à l'enseignement pour les enseignants, outil de résolution de problèmes, etc.

     Source Maths et TICE , WikiniMST