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Inclassables M@thématiqu€s - Page 321

  • En Allemagne, "Les mathématiques, ça compte"

    Le 23 janvier 2008, la Ministre fédérale de l'enseignement et de la recherche, Annette Schavan, a annoncé l'ouverture de l'année 2008 des mathématiques, sous la devise "les mathématiques, ça compte" ("Mathematik. Alles, was zählt").

    Dans le cadre de l'initiative de dialogue pour la science (Wissenschaft im Dialog, WiD) du Ministère fédéral de l'enseignement et de la recherche (BMBF), les mathématiques sont la neuvième discipline à laquelle est consacrée une année. Le BMBF, l'initiative WiD, la Fondation Deutsche Telekom et l'association des mathématiciens allemands (DMV) soutiennent et organisent les différentes manifestations.

    "Les mathématiques sont fascinantes et nous voulons soutenir cette science. Dans notre société actuelle, maîtriser les mathématiques est un facteur décisif pour la compétitivité ", souligne Mme Schavan. "Une grande partie de nos produits et services - tels que la tomographie et la communication mobile - n'existent qu'en prolongement des mathématiques. Les mathématiques constituent le langage commun à toutes les sciences."

    Lors de la dernière étude PISA, les élèves allemands ont obtenu de bons résultats en sciences, au-dessus de la moyenne de l'OCDE. En mathématiques cependant, malgré certains progrès, les résultats demeuraient dans la moyenne. Même les élèves allemands au-dessus de la moyenne ont montré peu d'intérêt pour cette matière, comparativement aux élèves d'autres pays. C'est pourquoi le jeune public est particulièrement visé par l'initiative du BMBF : les mathématiques sont une compétence clé car de nombreux métiers et parcours universitaires nécessitent de bonnes connaissances dans ce domaine.

    De nombreux acteurs scientifiques, économiques, culturels et politiques invitent à participer à de multiples manifestations régionales et nationales, à des expositions, concours et festivals pour vivre les mathématiques. Parmi les points forts de cette année 2008 :
    - l'école d'été à Leipzig du 28 juin au 4 juillet,
    - le bateau d'exposition MS Science qui circulera dans plus de 30 villes de mai à septembre.

    "L'année des mathématiques 2008 est une bonne occasion de montrer le spectre immense d'application des mathématiques en se basant sur des exemples", commente le Prof. Dr. Gerold Wefer, président du comité de direction de WiD.

    "Les mathématiques doivent perdre leur caractère "effrayant", revendique le Dr. Klaus Kinkel de la Fondation Deutsche Telekom. "Des approches innovantes pour l'enseignement en mathématiques, comme celles qui sont encouragées par la Fondation en maternelle, dans le secondaire et dans les écoles supérieures, pourraient contribuer à améliorer l'image des mathématiques auprès du public." Là-dessus, le Professeur Günter M. Ziegler, Président de la DMV, a ajouté : "L'année des mathématiques devra être participative. [..] La DMV, d'autres associations scientifiques, les enseignantes et enseignants, et bien d'autres encore, sont libres de marquer l'année en tant qu' "ambassadeurs des mathématiques" afin de transmettre une image multiple de cette discipline, qui soit à la fois captivante et stimulante : comme une science, une matière et un art."

    Source: bulletins electroniques.com

  • Blog en chantier

     

    Le blog est encore en chantier.

    Afin d'améliorer sa lisibilité, j'ai repeint le blog en blanc et il faut maintenant que je repeigne la "police" en noir... Je vous prie de bien vouloir m'excuser pour cette difficulté de lecture temporaire des notes écrites en orange et en jaune ! Il y en a plus de 1200 à barbouiller... J'y retourne... 

       

  • Selon Pécresse, les étudiants doivent noter leurs profs

    L'idée, relancée par le rapport Attali, a cours dans les pays anglo-saxons. En France, elle existe déjà dans les grandes écoles et quelques universités.

    Des enseignants bientôt évalués par leurs étudiants ? Si la pratique est généralisée dans les pays anglo-saxons, la France est encore à la traîne, même si le sujet est régulièrement évoqué depuis 1998, date d'une recommandation européenne. La ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a réaffirmé cette semaine qu'il fallait «aller vers l'évaluation des enseignements par les étudiants. Il ne faut pas la redouter. Je souhaite qu'elle se généralise», a-t-elle dit. La ministre évoque cependant un outil de pilotage et «non un outil de sanction». Sa loi du 10 août 2007 prévoit que les étudiants peuvent être «consultés» sur «l'évaluation des enseignements». Le rapport Attali va plus loin puisqu'il propose que les étudiants ne soient plus de simples participants à l'évaluation des enseignements mais qu'ils notent leurs professeurs.

    La mise en œuvre de cette pratique, si elle s'est accélérée depuis quelques années, est loin d'être générale. À l'université Victor-Segalen-Bordeaux-II, ces évaluations sont devenues routinières pour certains enseignements mais elles n'ont pas commencé pour d'autres. Les universités Paris-V et Paris-VI les ont instaurées ainsi que l'université de Marne-la-Vallée. À Paris-IV, la totalité des enseignements de l'université va être évaluée en plusieurs vagues successives. La première, en juin 2007, a concerné l'anglais, la philosophie, le russe, l'histoire. Les étudiants ont répondu à un questionnaire. À Paris-IV, on défend ce système parce que «partout où a été mise en place une évaluation, les effets en ont été bénéfiques : les enseignants acquièrent une idée beaucoup plus précise de la manière dont leurs cours sont perçus, de l'origine de certaines difficultés». Si Jean-Baptiste Prévost, le président de l'Unef, premier syndicat étudiant, se dit favorable à une évaluation «obligatoire» de l'enseignement, il estime qu'elle ne doit pas être de la seule responsabilité des étudiants. Pour la Fage, autre association étudiante, cette évaluation «constitue une nécessité» pour améliorer la qualité des formations. Un enseignant pointe un effet pervers du système : la coïncidence de la note des profs et celle des étudiants lors des examens. Un donnant-donnant qui pourrait s'avérer malsain.

    Certains présidents eux aussi sont sceptiques. Président de Toulouse-I, Henry Roussillon «ne voit pas l'intérêt d'une telle évaluation dans le cadre de la fonction publique. Que fait-on des enseignants qui sont mal notés ? s'interroge-t-il. On ne peut pas les mettre dehors, tout au plus les placardiser». Selon Michel Lussault, président de l'université de Tours, la principale difficulté réside dans les multiples craintes des enseignants.

    Plusieurs critères d'évaluations

    Dans les grandes écoles, cette pratique est assez courante. Pierre Halifat, président de la commission formation de la conférence des grandes écoles et président de l'école d'ingénieur ESIAE, préfère toutefois parler d'évaluation des enseignements et non de notation des enseignants. À l'ESIAE, cela se pratique depuis dix ans. Chaque semestre, les étudiants planchent sur plusieurs critères. À HEC, tout se fait par intranet. «Ce n'est pas le seul critère d'évaluation, explique Bernard Ramanantsoa, directeur général du groupe HEC. On évalue également la participation du professeur, l'utilisation du matériel pédagogique mais également la recherche». Il arrive d'ailleurs tous les ans à ces présidents d'école de se séparer de professeurs mal notés. Prudent, le patron d'HEC note «qu' il ne faut pas se focaliser sur la note d'un seul cours, car l'enseignant peut être fatigué. Parfois aussi la mayonnaise ne prend pas avec les élèves».

     Un article du Figaro.fr

  • Huitième Journée Cryptographie et Sécurité de l'Information

    La vocation de cette journée est de faciliter rencontres et interactions entre professionnels, chercheurs et étudiants de second et troisième cycle (masters recherche et professionnel, doctorants) autour d'exposés généralistes présentant des problématiques d'actualité liées à la sécurité de l'information et à la cryptologie.

    Il est financé par le Conseil Régional du Limousin, le Département Mathématiques-Informatique (DMI) du laboratoire XLIM (UMR CNRS 6172) et le département de mathématiques de l'Université de Limoges.

    Les exposés auront lieu sur le campus de La Borie, Faculté des Sciences et Techniques de Limoges le 8 février.


    Au programme:

    Evolutions récentes des architectures matérielles
    pour les cartes à puces multifonctions

    Sécurité de la voix sur IP

    Biométrie, codage et cryptographie

    Guerre de l'information

    Le lien : ICI

    Les mathématiques sont vraiment partout...

     

  • L’épreuve de travaux pratiques au baccalauréat S

    L'éditorial de Pascale Pombourq, Présidente de l'APMEP : ICI