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  • La perception des Mathématiques...

    Vous avez sans doute remarqué que les publicités pour les organismes de cours particuliers tournent quasiment toujours autour des Maths... Est-ce étonnant, alors même que cette discipline est associée, dans les esprits, à la notion de sélection et donc de réussite ? Comme évidemment tout le monde n'a pas accès à ces cours particuliers, il s'en trouve que les Maths sont souvent perçus comme étant liés d'une façon ou d'une autre à une certaine forme de privilège pour ne pas dire d'élitisme.
    Peut-être que la puissance du réseau Internet va permettre de casser cette spirale de l'élitisme. Certes les mathématiques sont une discipline exigeante, mais certainement pas un lieu de fermeture. Et les nombreux sites qui fleurissent ici ou là (dont Sésamath évidemment) sont importants pour montrer un autre visage : celui de l'aide désintéressée, du partage, de l'échange, du travail coopératif, du plaisir et même de la passion.
    Tous ceux qui aiment réellement les mathématiques devraient se rendre compte de l'importance qu'il y a à changer la perception de cette discipline. C'est possible, nous en avons les moyens. C'est un mouvement en marche.
     

    Source Sésablog, le blog de Sésamaths : ICI

    Deux réflexions personnelles sur ce même sujet : ICI et ICI

  • Bill Gates : les compétences dont vous avez besoin pour réussir

    60829127d2b2b6a685eb97fcf9f259d8.jpg" Beyond that, however, I don't think you can overemphasise the importance of having a good background in maths and science. "

    La source : l'article de BBC News en anglais : ICI

     

  • Un ordinateur a réalisé la factorisation de 15 = 3x5

    Ce n'est pas une très grande prouesse  de réaliser la factorisation de 15 en un produit de facteurs premiers, c'est à dire d'écrire 15 = 3x5. D'autant plus lorsque l'on sait qu'il aura fallu non pas une mais deux équipes de chercheurs pour arriver à ce résultat....
    Ce calcul ne serait pas une très grande victoire pour un ordinateur classique ni pour un enfant, c'est cependant la première fois qu'un tel calcul a été réalisé avec des photons et un ordinateur quantique.

    En 1994, Peter Shor a trouvé un algorithme mathématique exploitant les propriétés du calcul quantique qui permet de trouver la factorisation en nombres premiers d’un entier donné. En cryptologie, c’est extrêmement important. Il se trouve qu’un ordinateur quantique employant cet algorithme ferait mieux et plus vite qu’un ordinateur classique. De manière générale, ces ordinateurs seraient capables de prouesses à faire pâlir (s’ils le pouvaient...) les ordinateurs classiques. C’est un enjeu de la recherche actuelle que de créer un ordinateur quantique vraiment performant mais on n’y est pas encore.

    L'article de Futura-Sciences : ICI

  • Flatland - Vers la troisième dimension

    Edwin A. Abbott, pasteur anglais et précurseur de la pensée à quatre dimensions de la fin du XIXe siècle, est l'auteur d'une fable mathématique ("Flatland") qui a été exhumé à la suite des théories relativistes et quantiques.

    La vidéo : ICI


    Pour poursuivre la promenade vers la quatrième dimension, c'est ICI

    L'hypercube emprunté à Gigistudio

     

     

    La note de Blog a maths ( version française du livre Flatland ) : ICI

  • Simuler la fusion à grande échelle

    d22241e99c8a6db5d77e413157962692.jpgAvec l'action de recherche coopérative Fusion, une communauté de mathématiciens et d'informaticiens se forme autour du projet de fusion thermonucléaire mondial Iter avec pour objectif l'amélioration des modèles de comportement du plasma et l'optimisation des codes.

    Iter (International thermonuclear experimental reactor) est un projet international de grande envergure qui regroupe l'Europe et 5 pays partenaires (États-Unis, Chine, Russie, Japon et Corée du Sud). Ce réacteur expérimental fait figure de géant face aux projets précédents, le Jet en Grande-Bretagne, Tore Supra à Cadarache et TFTR à Princeton, mais tous mettent en œuvre la technologie des tokamaks inventée par les Russes à la fin des années 1950 : confiner un gaz ionisé (plasma) grâce à un champ magnétique, suffisamment longtemps pour provoquer une fusion atomique (voir encadré). Iter lui-même ne sera opérationnel pour accueillir les premières expériences qu'en 2016, mais il occupe déjà physiciens, mathématiciens et informaticiens. En effet, « la maîtrise des réactions de fusion, qui fait l'objet de recherches depuis cinquante ans, se double ici d'un changement d'échelle », explique Eric Sonnendrücker, le coordonnateur de l'Arc Fusion. « Certaines approximations peuvent être remises en cause ; des paramètres négligeables jusqu'à présent ne le seront peut-être plus sur Iter ».

    La suite ICI