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nombres - Page 10

  • Une jeune suite : 3,5,8,13,17,22,28....

    Si vous tapez cette suite dans l'encyclopédie en ligne des suites de nombres entiers : ICI, la suite A123929 apparait, elle est décrite par : " Simili-primes of order 2 " et les auteurs sont Eric Angelini et Hugo van der Sanden le 22 novembre 2006.

    Cette suite est en fait obtenue à l'aide de la méthode du crible d'Erathostène qui permet de " sélectionner " les seuls nombres premiers ( divisibles par 1 et eux-mêmes seulement ) - vous pouvez visualiser cette technique de façon dynamique ICI - sauf qu'au lieu de s'interesser aux nombres premiers on s'interresse ici aux nombres seconds !

    Dans la suite des nombres entiers privée de 1, soit 2,3,4,5,6,7,8,9,,10,.... on sélectionne le 2 pour commencer et on prend le second donc 3
    3 est le premier nombre second.
    On raye tous les multiples de 3.
    Il reste 4,5,7,8,10,....
    On prend le second donc 5.
    5 est le deuxième nombre second.
    On raye tous les multiples de 5.
    Il reste 7,8,...
    On prend le second.
    8 est le troisième nombre second, Etc
    D'où la suite " simili-prime of order 2 "

    On peut ainsi déterminer la suite des nombres troisièmes, ..., n-ièmes.


  • Championnat du monde des constantes : Perfection versus Chaos

    J'ai décidé, cette année, qu'en finale des constantes , le très connu nombre Pi, inusable, inaltérable rencontrera la constante de Feigenbaum, le challenger. Moins connue, plus jeune, c'est la constante du chaos, la preuve de la présence d'une invariance dans le désordre le plus total... la compétition est lancée et j'ai bien peur que la jeunesse ne l'emporte assez rapidement sur le poids des années... Affaire à suivre.

    D'une façon assez simplifiée, il suffit de voir le chaos non pas comme  désordre mais comme la présence devant soi d'un tellement grand nombre de choix possibles que de répéter l'un d'entre eux est impossible. Imaginons-nous devant deux chemins, je prendrai l'un ou l'autre. Je reviens au point de départ et je fais un choix, je prendrai encore l'un des deux. Après un très grand nombre de choix, je n'en aurai fait que deux au total et ne pourrait pas appeler cela chaos compte tenu du trop faible nombre de choix possibles. Allons maintenant un peu plus loin sur le chemin des choix et supposons  que je remplace deux choix par quatre choix. Au bout d'un certain temps, regardons le résultat, j'aurai seulement fait des choix dans ces quatre possibilités et j'aurai encore du mal à qualifier mon attitude de chaotique. Itérons le processus afin que je me place devant 8, puis 16, puis 32 puis 64 puis.... 2 puissance n, avec n très grand choix possibles. Si je fais un choix parmi tous ces possibles et que je recommence un certain nombre de fois, qui peut-être très grand, je n'aurai quasiment aucune chance de retrouver le même chemin et d'un point de vue extérieur mon comportement sera analysé comme chaotique, alors qu'il n'est qu'une continuité d'un 2-choix, un 4-choix, un 8-choix. Et bien en 1975, Feigenbaum a montré que la "distance" entre ces différentes bifurcations n'était pas aléatoire  mais qu'il existait bel et bien un rapport constant entre elles  et que si l'on trouvait une bifurcation à un endroit donné, on était capable de prédire l'emplacement de la prochaine bifurcation et que l'on pouvait mieux s'orienter dans un univers que l'on jugeait totalement cahotique !

    Le combat risque d'être serré : Perfection vs Chaos

    L'article de Wikipédia sur la constante de Feigenbaum : ICI

    Le chaos déterministe, la présentation de Sophie Mugnier : ICI

    Un fichier PDF sur la génération du chaos à partir de fonctions du second degré et l'explication en fin d'article de la présence de la constante de  Feigenbaum : ICI

  • Compter sur ses doigts pour multiplier les nombres de 5 à 10

    Méthode :
    Vous choisissez 2 nombres de 5 à 10 afin de les multiplier.

    Dans la main gauche, pour le premier nombre, vous levez le nombre de doigts qu'il reste pour aller à 10, par exemple si le chiffre choisi est 7 vous levez 3 doigts.
    Vous faites de même dans la main droite avec l'autre nombre.
    Le nombre de doigts baissé doit être compté comme dizaines, par exemple s'il vous reste 5 doigts baissés cela fera 50.
    Vous multipliez les nombres de doigts levez et comptez le produit en unités que vous ajouterez au nombre précédent.

    Exemple :
    6x7 : 4 doigts levés main gauche et 3 doigts levés main droite.
    Il  y a donc 3 doigts baissés et ainsi 3 dizaines soit 30 et le produit des doigts levés est égale  à 4x3=12

    et 30+12 = 42 !

  • Ecouter la prononciation des nombres en différentes langues

    En français : ICI
    En anglais : ICI
    En espagnol : ICI
    En allemand : ICI
    En italien : ICI
    En portugais : ICI
    En russe : ICI
    En chinois : ICI
    En hébreu : ICI
    En arabe :ICI
    En japonais :ICI