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mathématiques - Page 71

  • L’Enseignement Mathématique maintenant en version numérisée

    897af48077a6bcbd40272904c7e42484.jpgLes pages de L’Enseignement Mathématique ont été numérisées depuis 1899. Elles sont disponibles gratuitement sur internet, en texte intégral, à l'adresse http://retro.seals.ch, au plus tôt cinq ans après l'impression de chaque tome. Ce sont ainsi les 40.000 pages des années 1899 à 2000 qui sont accessibles en ligne. En vertu de la déclaration de Berlin, l'accès est garanti libre de droits et ouvert au monde entier.

    Plus de détails :
    ICI

  • Cont'science - Association de vulgarisation des sciences

    Tout a commencé avec quelques conférences de Xavier Viennot dans des colloques scientifiques sur le thème des mathématiques combinatoires, où le caractère visuel de cette nouvelle façon de voir les mathématiques classiques se prête à l’accompagnement du violon de Gérard Duchamp. Les bijections ou constructions algorithmiques permettent de donner des “preuves sans mots” de formules ou de théorèmes de mathématiques. L’idée de la preuve, illustrée à travers un exemple, devient un film muet avec sous-titres, le violon jouant un rôle d’accompagnement, voir parfois plus, soulignant les traits essentiels de la construction bijective.

    Le site de l'association, avec des photos mais malheureusement sans vidéo, permettant de se représenter "l'ambiance" en musique et avec conteuse, des conférences: ICI

  • Serveur de thèses pluridisciplinaires

    Le serveur TEL (thèses-en-ligne) a pour objectif de promouvoir l'auto-archivage en ligne des thèses de doctorat et habilitations à diriger des recherches (HDR), qui sont des documents importants pour la communication scientifique entre chercheurs.

    C'est ICI

    Personnellement, je lis les conclusions de celles qui m'interessent.

  • Une nouvelle forme " mathématique", le Gömböc

    Gábor Domokos et Péter Varkonyi, deux chercheurs hongrois, ont découvert comment certaines créatures à carapaces, comme les tortues et les scarabées, étaient capables de développer une forme avec un point d'équilibre stable et un point d'équilibre instable.

    ce00ed6099c32c5b97e41dbfec67dd6c.jpg

    Gábor Domokos, chef du département de mécanique, matériaux et structures de l'Université Technique de Budapest (BME) et un ancien étudiant, Péter Varkonyi qui travaille maintenant à l'Université Princeton aux Etats-Unis, ont relevé le défi et créé une forme homogène appelée Gömböc qui possède seulement ces 2 points d'équilibre (corps mono-monostatique).

    C'est ICI pour le site et la vidéo

    Une interview du professeur Domokos : ICI

    La source de l'info est ICI

    Une note du blog Archiact, cabinet de curiosités architecturales : ICI

    Comment la géométrie aide les tortues à retomber sur leurs pattes ? un article du Nouvel Observateur: ICI

  • Comment Tartaglia présenta sa solution historique ?

    Au XVIème siècle, en Italie, les mathématiciens s'affairaient à résoudre les équations du 3ème degré, saine occupation qui déchaina néanmoins les passions. Tartaglia et Cardan furent les plus célèbres acteurs d'une transmission de méthode de résolution bien difficile mais faite de façon poétique. C'est dans les vers suivants que les mathématiques firent un pas de géant :

    Quando che'l cubo con le cose appresso
    Se agguaglia a qualche numéro discrète :
    Trovati dui altri différent! in esso.
    Dapoi terrai, questo per consueto,
    Che'l loro produtto, sempre sia eguale
    Al terzo cubo délie cose netto ;
    El residuo poi suo générale,
    Delli lor lati cubi, ben sottratti
    Varrà la tua cosa principale.
    In el secondo, de cotesti atti ;
    Quando che'l cubo restasse lui solo,
    Tu osserverai quest' altri contratti,
    Del numer farai due, tal part'a volo,
    Che l'una, m l'altra, si produca schietto,
    El terzo cubo délie cose in stolo ;
    Délie quai poi, per commun precetto,
    Torrai h lati cubi, insieme gionti,
    Et cotai somma, sarà il tuo concetto ;
    El terzo, poi de questi nostri conti,
    Se solve col secondo, se ben guardi
    Che per natura son quasi congionti.
    Questi trovai, et non con passi tardi
    Nel mille cmquecent'e quattro e trenta ;
    Con fondamenti ben saldi e gaghardi
    Nella Città del mar intorno centa.

    Impressionnant n'est-ce pas ?

    Pour un début de traduction : ICI

    Et pour la fin du poème ça ressemble à :

    Je trouvai tout ceci, et sans m'attarder
    En l'an mil cinq cent trente-quatre;
    Sur des fondements solides et inébranlables
    Dans la Cité tout entière ceinte par la mer.

    Les mésaventures d'un mathématicien à la Renaissance rédigées de façon humoristique par Jean-Marc Dewasme ( PDF ) : ICI

    Littérature : Histoire des sciences en Italie depuis la renaissance des lettres jusqu'à la fin du XVIIème par Guillaume Libri : ICI