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mathématiques - Page 64

  • Trouvez le point commun entre ces images

    Qui relie les images suivantes ?

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    Il a donné son nom à cette fleur.

     

     

     

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    C'est son portrait.

     

     

     

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    Il a construit ce temple de forme elliptique à Genève en 1758 .209a3965e8d62ac7faabb86b852fc4da.jpg

     

     

     

     

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    Il  a annoté l'édition genevoise de ce livre de plus de 100 notes dont certaines très développées.

  • Ma progression annuelle de première S ( non détaillée )

    Mes progressions actuelles :

    Première S

    Terminale S

    Terminale ES

     

    Anciennes progressions:

    progressions mathématiques lycée

  • Euler, l’imagination souveraine

    Exposition 2 mai 2007 au 28 octobre 2007 au Musée d'Histoire des Sciences de Genève

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    lien avec les festivités de commémoration du tricentenaire de la naissance ( ICI ), du grand mathématicien Leonhard Euler (1707-1783), le Musée d’histoire des sciences et la Section de mathématique de l’Université de Genève présentent les pièces maîtresses des écrits de ce savant, accompagnées d’explications et de jeux démonstratifs. Elles donnent l’occasion d’apprécier la variété du génie créatif d’Euler : recherche fondamentale en mathématique, recherche appliquée aux besoins des puissants, défis entre savants ou vulgarisation scientifique.

    C’est également l’occasion de se pencher sur l’Europe savante du 18e s., sur ses cours brillantes et ses princesses savantes et de faire le lien avec Genève, grâce aux correspondances d’Euler avec des savants genevois tels Calandrini ou Cramer.

    Un cycle de conférence tout public accompagnera l’exposition, des mercredi des mois de mai et de septembre 2007.

    Le texte de présentation de 19 pages en format PDF : ICI

    Une émission de Radio de 2h00 " Euler le magnifique " diffusée sur la Radio Suisse : ICI

  • Les maths en enfer....

    La tradition veut que la phrase « Que nul n'entre s'il n'est géomètre » ait été gravée à l'entrée de l'Académie, l'école fondée à Athènes par Platon.

    Dans la bible, Joseph, le père de Jésus était charpentier, il connaissait très certainement des notions de mathématiques.


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    Mais qui s'occupe donc de l'enseignement des mathématiques aux enfers ?

    Il s'agit du Roi Asmoday, Surintendant des Enfers, des Maisons de jeu, Asmodée sème dissipation et erreur. Certains en font l’ancien serpent qui séduisit Eve. Asmodée apprend aux hommes à se rendre invisibles, leur enseigne la géométrie, l’arithmétique, l’astronomie et les arts mécaniques. Il connaît les trésors cachés.

    Il est sans doute assisté par le Duc Pucel qui répond sur les sciences occultes, enseigne la géométrie et les arts libéraux. Pucel est accusé de faire entendre de violents bruits ou le mugissement des eaux où il n’y en a pas.

    Vous saurez donc qui demander pour quelques cours particuliers de maths si vous n'atteigniez pas le Paradis - ce qui est hautement improbable, vous connaissant ...


    Source : ICI

  • Newton inspiré par des savants indiens ? La suite

    Des chercheurs assurent que des savants indiens du moyen-âge avaient découverts les bases calcul infinitésimal 250 ans avant Leibniz et Newton. Ce dernier aurait pu avoir eu vent de ces calculs par l’intermédiaire des jésuites bien implantés dans ces régions.

    Dès la seconde moitié du XVIIe siècle, le domaine mathématique de l'analyse numérique connut une avancée prodigieuse grâce aux travaux de Newton et de Leibniz en matière de calcul différentiel et intégral, que l’on regroupe sous le nom de calcul infinitésimal. Des chercheurs de l’université de Manchester pensent avoir trouvé la preuve que des mathématiciens indiens avaient développé les bases de ce calcul dès 1350.

     

    Leur affirmation repose sur la découverte de très anciens documents concernant « l’école du Kerala ». Cet état du sud de l’Inde est peuplé depuis la haute antiquité et faisait déjà commerce avec les romains. Selon le Dr George Gheverghese Joseph, auteur d’un ouvrage sur les racines non-européennes des mathématiques, les indiens auraient identifié la notion de séries infinies, une des bases du calcul différentiel. En utilisant ce concept et le maniement de certaines fonctions trigonométriques, ils seraient parvenus à estimer le nombre Pi à 9,10 et plus tard dix-sept décimales. Ces notions sont à la base du calcul différentiel, que Newton  appellera « méthode des fluxions » et de l’analyse.  

     

    Toujours selon les auteurs, les jésuites bien implantés à l’époque dans la région aurait pu servir de courroie de transmission de ce savoir vers l’Europe. Ces derniers étaient en effet à l’époque de brillants mathématiciens et maitrisaient la langue locale, singulièrement difficile. Ils avaient également un intérêt particulier envers l’école du Kerala car sous l’égide du pape Grégoire XIII ils travaillaient à la réforme du calendrier Julien et le calendrier indien était réputé. Ils auraient bénéficié également d’autres transferts de savoir dans les domaines de l’astronomie et de la navigation.

    Source nouvelobs.com : ICI

    Article original : ICI

    Les mathématiques en Inde par Michel Waldschmidt ( PDF ) : ICI

    Neither Newton nor Leibnitz - The Pre-History of Calculus and Celestial Mechanics in Medieval Kerala : ICI

    La méthode Chakravala, algorithme cyclique pour la résolution d'équations quadratiques : ICI et ICI

    Formule de Leibniz qui apparaît en fait chez Madhava, mathématicien indien de la province de Kerala vers 1400 : ICI

    Pour résumer : si j'ai bien compris, il semble que la trouvaille ne soit pas tellement que des preuves de calcul infinitésimal soient présentes trois siècles avant leur découverte en Occident, comme le souligne M. Waldschmidt :
    "L'invention du calcul infinitésimal en Inde trouve sa source dans la recherche de la prédiction des éclipses. Aryabhat, puis Brahmagupta, utilisent le concept de mouvement instantané. L'astronome Manjul (vers 930), puis Bhaskaracarya, utilisent la dérivée de la fonction sinus pour calculer l'angle de l'écliptique. On peut considérer Madhava comme l'un des fondateurs de l'analyse moderne. Un des rares mathématiciens à disposer d'une intuition aussi développée sera Ramanujan."
    mais que les jésuites aient transmis cette découverte en Occident.