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  • Facebook or not ?

    Cela fait 7 mois déjà que je me suis inscrit sur Facebook, pour voir, par curiosité. Simplement pour connaître ce dont il s'agit. Et puis plus rien pendant quelques mois jusqu'au moment où un ancien élève ( j'ai changé d'établissement scolaire il y a 3 ans ) m'a retrouvé puis deux, puis trois. Récemment ce sont mes élèves qui ont trouvé mon profil sans que j'en face de publicité, alors je me suis posé la question suivante : dois-je les accepter comme "friend"? A quoi cela engage ? Et puis je me suis trompé de bouton et j'ai accepté un élève... trop tard puis ce fut autour de 2. Mon réseau Facebook compte aujourd'hui une quarantaine de membres : élèves et anciens élèves.

    Je suis actuellement en phase de test en ce qui concerne les élèves mais cela ne semble pas poser de problèmes par contre je refuse systématiquement toutes les demandes d'applications et autres quizz ou questionnaires. Je n'ai pour l'instant eu aucun échange écrit avec un ou une de mes élèves. Les anciens demandent bien souvent d'être mis en contact avec moi, puis c'est à moi de faire le premier pas pour leur demander quelques nouvelles. Pour ma part, comme je l'ai souvent constaté on est bien loin d'un déferlement et d'un envahissement, le savoir-vivre, le manque de temps, le coté secondaire et l'autolimitation semblent faire leur office.

    Cependant si la gestion de ce réseau avec les élèves me pose problème je les supprimerai immédiatement de ma liste en leur demandant de renouveler leur demande lorsqu'ils deviendront d'anciens élèves mais je ne pense  pas en arriver là.

    J'ai travaillé ma page Facebook et l'ai relookée Maths 2.0. Vous pouvez donner votre avis :  "Pour ou contre Facebook" sur Maths 2.0 ou ici même.

    Si vous possédez un compte, vous pouvez consulter cette page et rejoindre mon groupe d'amis ( pendant qu'il est encore (très) ouvert ).



    Pour compléter :

    Dis c'est quoi un réseau social sur Internet?

    Facebook : le guide pratique

  • Une théorie géométrique de la musique

    Leibniz affirmait : La musique est un exercice d'arithmétique secrète, et celui qui s'y livre, ignore qu'il manie des nombres".

    Depuis que Dmitri Tymoczko, Clifton Callender  et  Ian Quinn ont mis au point (qui n'est pas un point d'orgue!) une théorie géométrique de la musique, il faudrait remplacer dans la citation précédente, arithmétique par géométrie et nombres par figures.
     
    Loin d'être en mesure de vous expliquer les diverses figures géométriques issues de quelques groupements de notes, je vous propose d'écouter un peu de Chopin et de Deep Purple et d'essayer de se laisser transporter (ce n'est pas très facile pour l'instant!) par les quelques figures décrites par ces morceaux sur le site de Dmitri Tymocsko: ICI ou directement avec les vidéos ci-après:
     
    La vidéo pour Chopin

    La vidéo pour Deep Purple
     
    L'article de Science Daily : ICI
    L'article de Princeton University : ICI
    L'article de Florida State University : ICI

    Tout ceci me laisse sans voix. Je ne maîtrise absolument pas l'univers musical, encore moins sa mathématisation et  ce problème, à peu près aussi vieux que les mathématiques elles-mêmes, offre encore de nouvelles découvertes aujourd'hui.

    Pythagore voyait dans les nombres la musique de l'univers. Elle se laissa quant à elle gentiment "mathématiser". Il fut celui qui relia le nombre à la musique. Certains grands noms lui emboîtèrent le pas, comme Kepler, ce que lui reprocha d'ailleurs Madame du Châtelet dans ses commentaires des Principia. Aujourd'hui un nouveau pas est franchi, qui serait celui de la découverte d'une vérité originelle, d'un retour aux sources. Les mathématiciens grecs eurent bien des difficultés à relier les nombres et la géométrie, c'était d'ailleurs cette dernière qui prédominait dans leurs esprits au détriment des premiers, plus difficles d'accès. La musique quant à elle était naturellement reliée au nombre et elle y est restée jusqu'à la musique contemporaine, celle de Xénakis par exemple. Il n'existait jusqu'à aujourd'hui qu'un unique couple possible,  musique et nombre,  même si les générations successives se sont permises qulelques libertés, jusqu'à y introduire le chaos et de hasard.

    Nous allons pouvoir à partir d'aujourd'hui, commencer à concevoir la musique de façon géométrique. Une révolution est en marche.


    Pour compléter:

    Musique et mathématiques au Moyen-Age: ICI

  • Réveil tardif et remède de grand-mère.

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    En 1648, notre très cher Descartes pensait passer le reste de ses jours au Pays-Bas, mais ce fut en Suède qu'il se dirigea, invité par la Reine Christine qui lui offrit une place à la cour pour enseigner l'éthique, la théologie et en vue d'établir une Académie. Dès qu'il eût donné son accord, la Reine lui envoya un navire de guerre pour l'emmener dans son pays.

    Descartes n'a cependant pas été traité de façon aussi royale qu'il aurait pu l'imaginer.

    Il aimait dormir toute la matinée. Descartes était d'assez mauvaise constitution et les premiers pas de la journée lui coûtaient. Quelle ne fut pas sa surprise dès son arrivée à Stockholm le 4 octobre 1649, lorsque, reçu par Christine, elle lui demanda de venir dans sa bibliothèque chaque matin à cinq heures, moment « tranquille » pour la reine qui se lève dès 4 heures. Il dut ainsi se plier à cette exigence quelque soit le temps, qui n'était guère clément en Suède, et se lever tous les jours sans exception, à quatre heures et demi, luttant difficilement contre la rudesse du climat nordique.

    Ce fut d'ailleurs la rigueur de l'hiver 49-50 qui eut raison de sa médiocre santé.  Descartes y contracta une pneumonie. Préférant ses propres remèdes à ceux des médecins de la Reine Christine, il se soigna lui-même avec... une préparation de tabac infusée dans du vin, sensée lui faire expectorer les mucosités. Cette décoction n'eut visiblement pas les effets attendus par notre génie. Son état s'empira rapidement, il entra dans un délire profond et mourut deux jours plus tard le 11 février 1650.


    Pour approfondir :

    Descartes de Ferdinand Alquié

  • Question autour de 2 et de l'univers

    Combien faut-il multiplier 2 par lui-même pour atteindre le nombre d'atomes de l'univers ?

    Si vous n'avez pas encore répondu à la question, faite-le avant de regarder la solution en commentaires.