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Inclassables M@thématiqu€s - Page 546

  • Cécile

    Le premier souvenir en tant qu'enfant c'est ma mère qui me dessinait des barrières ou des plantations d'arbres pour m'expliquer les intervalles .. moi j'imaginais les barières de jardin, des plantations de peupliers et je n'ecoutais pas vraiment l'explication ce qui fait que je ne sais toujours pas calculer les intervales .. Heureusement je ne suis pas horticultrice !!
    Autre souvenir : ma fille en classe de .. le college ! ..
    Elle avait de tres mauvaises notes car ne comprenait rien et j'etais incapable de l'aider. Son prof lui mettait de bonne note en probleme car vis a vis des matheux il avait enfin un devoir avec les bons ennoncés mais les calculs etaient faux, pas corrects, pas ceux la qu'il fallait faire ...
    Son frère qui a eu le meme prof deux ans apres, à lui il enlevait des points parce que pas d'ennoncés et pourtant tous les resultats etaient justes... les bons calculs, toujours les plus efficaces... mais pas un mot.

    Blog : http://cileclic.blogspirit.com/

  • Licence professionnelle audiovisuel

    Bonjour Génial! Je vais vous raconter ma vie et mon rapport aux mathématiques. Depuis le temps que je m'interroge sur mon approche de cette matière, en parler va peut-être m'aider à tirer cela au clair. (J'ai 20 ans, je suis un garçon et j'étudie actuellement le cinéma et l'audiovisuel.) A l'école j'étais bon élève. Je remportais parfois un sac de bille lors des concours de calcul mental en cm1. Je résolvais les problèmes (Olivier se rend à la boulangerie avec 9fr en poche pour acheter deux pains au chocolat qui coûtent chacun 3frs50. Combien lui reste-il d'argent? Olivier a aussi envie des jolies sucettes qui brillent sur le comptoir. Elles coûtent 1frs chacune. Combien pourra-t-il en acheter avec la monnaie qui lui reste? (réponses: 7frs et 2 sucettes)) sans difficultés. Puis le temps du collège et des douleurs est arrivé. Géométrie et compagnie, tout est devenu plus difficile. J'ai assuré en sixième, j'ai reculé en 5ème, je me suis écrasé en 4ème et j'ai subsisté en 3ème. 20 au contrôle sur les fractions, mais 7 à celui qui portait sur le théorème de pythagore... Dur dur. Un coup pour l'estime de soi, pour celui qui avait l'habitude de réussir. Ma régression s'est parralèlement développée dans les autres matières scientifiques (SVT, physique). Le recul. Au lycée cela a encore empiré, je suis devenu nul et avec cela mon dégoût des maths s'est accentué. Quel enfer que d'aller en cours, de se retrouver au tableau, face à un prof dépressif qui vous engueule parceque vous ne savez plus poser une division... Fin d'année de première, le bac... J'ai eu 13 au bac de maths. C'est terriblement mauvais quand on relit les énoncés, c'était tellement facile... Trop facile pour que je prétendre atteindre le 18. M'enfin un 13 dépassait tous mes espoirs... Je détestait tant les maths. Le jour du bac j'ai pensé que c'était la dernière fois pour moi que je me confrontais à un problème de chiffres... J'étais heureux. Mais quel mal m'en a pris. L'année de terminale littéraire fut paradisiaque. Puis il a fallu choisir, s'orienter après le bac. J'ai choisi de faire un BTS audiovisuel où un retour en force des maths s'est opéré. J'ai bien failli renoncer au bout de deux semaines. Mais non, je me suis accroché et j'ai tout de même obtenu un 4 à l'examem. Je me suis juré que plus jamais, jamais, je ne retoucherai à ça. Trop horrible, trop débectant. J'ai ensuite voulu faire une licence pro d'audiovisuel en écriture et réalisation (ce que je fais actuellement) et là alors c'est encore pire. Les journées de cours de physique, maths et chimie s'enchaînent frénétiquement. Pourquoi? Quel rapport avec l'écriture? Allez comprendre. J'ai encore manqué de tout laisser tombé mais je me suis une fois de plus accroché. Au final, j'ai obtenu 1,8 au partiel de physique ondulatoire dont chaque mot et chaque chiffre posé sur mes feuilles de cours peuvent être assimilés à des points d'interrogation. Malaise, malêtre, difficulté de vivre, de peur de ne pas être à la hauteur, menace de tout rater, angoisse, dépression. Les maths m'ont rendu malade cette année. Je n'ai pas compris pourquoi l'on m'imposait cela, pourquoi je me suis imposé à moi-même ce que je haïssais le plus. Et sutout je me suis demandé pour quelles raisons, à 20 ans, je devrais faire des choses qui ne m'intéressent pas. Qui me domine? Mes difficultés se sont avérées proportionnelles aux difficultés des exercices. Ma régression a été exponentielle, et pour le coup, inversement proportionnelle à la progression de la difficulté. J'ai certainement décroché à moment-donné, mais je ne sais ni quand, ni pourquoi, ni comment. Le fait est qu'avec ma déchéance est apparu mon rejet de la matière. C'est normal aprés tout. Je me dis parfos, finalement, que les maths ne m'aiment pas. Ils se sont joués de moi. Je n'ai pas su résister. Tragique hein? Merci, ça fait du bien d'en parler. Que cela vous soit bien utile... Au revoir.

  • Isabelle

    Lors de ma scolarité, j'ai toujours été hermétique aux maths (et pas qu'aux maths d'ailleurs!), ma moyenne dans cette matière ne dépassais pas le 5 ou 6. 1980 fut la seconde année où je tentais le bac, j'étais en section littéraire, et grâce à un camarade de classe le déclic a eu lieu : 15 jours avant les examens, il me fit découvrir et aimer les maths : il m'y initia de façon très ludique, et dès lors que cela devint un jeu, j'y pris beaucoup de plaisir et obtins un 12!

  • SDF

    En marchant, je vois
    L'église effrayante
    Non ce n'est pas l'église
    Mais bien ces gargouilles qui me regardent
    Je baisse la tête au passage,
    En signe de pénitence
    Dieu est peut-être las aujourd'hui
    Tinte la pièce, résonne
    Personne, non vraiment personne
    Les cloches sonnent
    Leurs notes tonnent, étonnent,
    Des tonnes de notes qui détonnent
    Entonnent
    Elles sonnent
    Et ce pauvre hère qui tombe sur le parvis
    Tinte la pièce, résonne,
    Personne, non vraiment personne
    Qui ne dise mot
    Histoire sans parole
    Mélodie sans histoire
    D'un homme oublié par le passé
    Je passe
    Virtuel désir de rougir
    Tinte la pièce, résonne
    Personne, non vraiment personne
    Je lève la tête pour contempler l'oeuvre des hommes
    Cette flèche qui s'élève et transperce
    Signe du temps, sens des maux
    Symbole des temps, essence des mots
    Vive comme l'air, la mélodie le gerce
    Seul, seule ensemble battent le tempo
    Et j'imagine les bâtisseurs par les vents étourdis
    et
    par la corde abasourdis
    Sur le parvis vient s'offrir de nouveau
    comme engourdie,
    La ritournelle du condamné
    Tinte la pièce, résonne
    Personne, non vraiment personne
    Je me retourne
    Non
    Personne
    Il n'y a plus personne...


  • Puligny Montrachet

    Nous vivrions dans une société liquide disent les plus grands spécialistes, je suis tout à fait d'accord mais je voudrais que le liquide soit du Puligny-Montrachet, c'est possible, vous croyez ?