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mathématiques - Page 124

  • Biographie et travaux de Gauss : Liens

    Biographies

    http://mathematiques.ac-bordeaux.fr/viemaths/hist/mthacc/gauss.htm

    http://www.futura-sciences.com/comprendre/g/biographie-gauss-carl-friedrich_3354.php

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Friedrich_Gauss

    http://www.infoscience.fr/histoire/biograph/biograph.php3?Ref=29

    http://revue-biographies.blog.fr/2006/08/06/carl_friedrich_gauss~1018195

    http://www.edunet.tn/ressources/resdisc/maths/historique/gauss.htm

    http://www.lycee-international.com/travaux/HISTMATH/gauss/

    Détermination de la date de Pâques par Gauss

    http://www.recreomath.qc.ca/dict_paques_d.htm

    D'une façon générale : ICI

    Méthode du Pivot de Gauss

     http://www.math-linux.com/spip.php?article38

    medium_gauss.jpgGauss était un génie !

    A 3 ans, ses parents remarquèrent qu'il avait corrigé une erreur commise par son père au moment de payer ses employés.

    Dès l'âge de 7 ans, Gauss montra ses talents de mathématicien prodige. Son instituteur demanda pour faire taire la classe de donner la somme des nombres entiers de 1 à 100. Gauss donna imédiatement la réponse 5050 car il avait remarqué qu'il y avait, en prenant ces nombres 2 par 2, 50 paires dont la somme faisait 101 :
    100+1=101
    99+2 = 101
    98+3=101
    .......
    51+50=101

    et 50x101 = 5050 !

    Au début de son adolescence, Gauss avait déjà mis au point deux méthodes pour extraire les racines carrées avec une précision allant jusqu'à 50 décimales!

     

  • 10 mythes sur l'enseignement des mathématiques

    Article en anglais : ICI

  • L'antipédagogie des blogs

    Je lis un ouvrage de 1704, l'un des tous premiers livres conçu pour l'enseignement des mathématiques. C'est impressionnant de constater avec quelle minutie l'auteur prend soin d'une part de justifier la nécessité de  l'enseignement de cette nouvelle matière au regard de l'autorité religieuse et d'autre part avec quelle précision il entre dans la psychologie de l'apprentissage en séparant bien cet acte de la vision sensible du monde et la nécessité de hiérarchiser la démarche logique partant des axiomes ( propriétés semblant évidentes et ne demandant aucune démonstration ) pour terminer par les corollaires des théorèmes ( propriétés déduites ). Entre ces deux extrémités, se place la démonstration qui doit être courte car les jeunes gens n'ont pas un esprit supportant une longue concentration ( ah ! les jeunes ne sont vraiment plus ce qu'ils étaient, oups excusez-moi nous sommes en 1704 ! ). Ce point de vue n'était pas "évident" à cette époque où la pédagogie n'existait pas et l'auteur de rappeller la nécessité de prendre du temps et d'organiser de façon pédagogique le contenu des connaissances pour le transmettre et le faire sien. Le lecteur devant apporter sa propre contribution au livre de façon à se l'approprier.

    Or, c'est bien exactement l'inverse que nous permettent les blogs, lassant nos quelques lecteurs lorsque la note est trop longue, trop abstraite et ne permettant aucunement un cheminement de pensée puisqu'il faut sans cesse rappeler la définition des termes que l'on peut utiliser ou son point de vue, celui-ci étant enterré sous une montagne de notes successives.
    Au grand désespoir de l'abbé Lamy, les blogs sont en tous points antipédagogiques, restant définitivement dans l'affectif, dans le sensible, même si l'on peut parfois en qualifier certains, "affectivement", d'érudits.

    Alors navigons à la surface des eaux troubles en créant nous-mêmes nos tempêtes affectives....
    Foules sentimentales...

  • Le chevalier de Méré , la galanterie et le jeu...

    Pour le chevalier de Méré (1607-1684) « La galanterie procède principalement d’une humeur enjouée avec une grande confiance que ce qu’on fait sera bien reçu».

    L'article : "la galanterie, une exception française". 

    Le chevalier de Méré fut homme de lettres et philosophe. Personnage marquant à la cour de Louis XIV, il a acquis auprès des historiens la réputation d'un joueur impénitent... Il se trouve que son intérêt pour ces questions, ainsi que les discussions qu'il eut avec Pascal, en font un précurseur essentiel du calcul des probabilités.

    Le jeu de « passe-dix » consiste à jeter trois dés, on gagne si la somme des points obtenus dépasse 10. Le chevalier de Méré constatait qu'en pratique on gagnait plus souvent avec 11 qu'avec 12. Cela contredisait son raisonnement, que voici : «II y a six possibilités de marquer 11 points : {4, 4, 3 }, {5. 3, 3 }, { 5, 4, 2 }, { 5, 5, 1 }, { 6, 3, 2 } , { 6, 4, 1 } et six possibilités de marquer 12 points: {4,4,4}, {5,4,3}, {5,5,2}, {6,3,3}, {6,4,2}, {6,5,1}. Donc la probabilité de marquer 11 est égale à celle de marquer 12. »

    L'erreur du chevalier est de s'en tenir aux issues observables et de les croire équiprobables. Or si l'on veut des issues équiprobables, il faut distinguer les dés.

    Saurez-vous montrer ( programme de 1ère S ) qu'en distingant les dés, il y a 25 façons d'obtenir 12 et 27 d'obtenir 11 et donc que la probabilité d'obtenir 12 est inférieure à celle d'obtenir 11 ?

     

  • Les mathématiques et la nature

    Pourquoi le léopard est-il tacheté et le tigre rayé ?

    http://www.crm.umontreal.ca/math2000-1/pub/leopard.html