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Perrine Berment est doctorante en mathématiques à l’université de Bordeaux. Parmi les 5 lauréats de la finale de l'université de Bordeaux, elle participe à la finale régionale de MT180s le mardi 26 avril. Son laboratoire : Institut de mathématiques de Bordeaux (unité CNRS et université de Bordeaux) Son sujet de thèse : Modélisation mathématique de tumeurs cérébrales de bas grade et assimilation de données cliniques d'imagerie.
Énoncée il y a quinze ans, la conjecture de courbure L2 a enfin été démontrée par un groupe de trois chercheurs du laboratoire Jacques-Louis Lions (CNRS/UPMC/Université Paris Diderot) et de l’université de Princeton. Elle fournit un cadre potentiellement minimal dans lequel il est possible de résoudre les équations d’Einstein. Cela pourrait être une étape cruciale vers la démonstration de conjectures majeures, comme les conjectures de censures cosmiques de Penrose. Ce travail a été publié le 14 octobre 2015 dans la revue Inventiones Mathematicae.
Frédéric Laroche vient de signer un excellent nouveau livre, non pas sur les mathématiques mais sur l'informatique. On y apprend à débuter en Python. L'approche se veut très pédagogique et graduelle. Il est particulièrement interessant pour la spécialité ISN de Terminale S.
La surface solaire et son champ magnétique majoritairement « poivre et sel », en dehors des régions des grandes taches solaires, à partir des données du satellite SDO de la NASA
Comment la température de l'atmosphère du Soleil peut-elle atteindre jusqu'à un million de degrés, alors que celle de la surface de l'étoile est d'environ 6000°C ? En simulant l'évolution d'une partie de l'intérieur et de l'extérieur du Soleil, des chercheurs du Centre de physique théorique (CNRS/École polytechnique) et du laboratoire Astrophysique, instrumentation-modélisation (CNRS/CEA/Université Paris Diderot) ont identifié les mécanismes apportant l'énergie capable de chauffer l'atmosphère solaire. Une couche située sous la surface du Soleil, qui se comporte comme une casserole en ébullition, créerait un champ magnétique à petite échelle comme réserve d'énergie qui, une fois sorti de l'étoile, chaufferait les couches successives de l'atmosphère solaire via des réseaux de racines et de branches magnétiques1, telle une mangrove. Ce chauffage de l'atmosphère, impliqué dans la création du vent solaire qui remplit l'héliosphère, concernerait de nombreuses autres étoiles. Ce résultat parait dans la revueNaturedu 11 juin 2015.