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Pour le prof de maths - Page 99

  • Page histoire des maths de l'Académie de Bordeaux

     

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  • Courants philosophico-mathématiques

    Il y a l'inventionnisme issu de l'empirisme selon lequel les mathématiques sont une invention de l'être humain. La principale objection de ce point de vue est de savoir pourquoi les découvertes mathématiques se font de façon presque identique independemment de la culture.

    Il y a le platonisme mathématique, issu de l'idéalisme pour lequel les mathématiques existent bel et bien en dehors de l'esprit humain. Le nombre Pi existerait indépendemment du fait qu'on l'ai découvert. La principale objection est de savoir comment entrer en contact avec ce monde, par l'intuition ? Alors cela nous ramène à l'intervention de l'homme dans les découvertes mathématiques.

    Il y a le formalisme issu du logicisme pour lequel les mathématiques sont une manipulation de symboles sans signification et ne cherchent pas à rendre compte de leur lien avec le réel. La principale objection est de se demander pourquoi les mathématiques décrivent aussi bien le réel s'il n'y avait pas de lien entre les deux.


    Il y a le constructivisme ou intuitionnisme issu de l'opérationnalisme pour lequel les mathématiques ne doivent accepter comme point de départ que les nombres entiers, les notions mathématiques les plus simples et déduire tout le reste par étapes successives à partir de ces notions intuitivement évidentes. La principale objection est de justifier pourquoi partir des nombres entiers ? Qu'est ce qu'une étape de construction ? Pourquoi l'intuition de l'infini ne serait pas recevable alors qu'elle a donné des résultats interessants ?


    Bon choix Madame, bon choix Mademoiselle, bon choix Monsieur...

  • L'île des mathématiques

    Sur l'île des mathématiques, il y a des cours, des forums, des sujets .... : C'est ICI

  • Les signets de la BNF - suites numériques

    C'est ICI

    Et voir tout particulièrement le site permettant de trouver une suite à partir d'une séquence de nombres entiers : ICI

  • Le jeu d'échec

    D'après la légende, l'inventeur présumé des échecs indiens serait un brahmane nommé Sissa. Il aurait inventé le chaturanga pour distraire son prince de l'ennui, tout en lui démontrant la faiblesse du roi sans entourage. Souhaitant le remercier, le monarque propose au sage de choisir lui-même sa récompense. Sissa demande juste un peu de blé. Il invite le souverain à placer un grain de blé sur la première case d'un échiquier, puis deux sur la deuxième case, quatre grains sur la troisième, huit sur la quatrième, et ainsi de suite jusqu'à la soixante-quatrième case en doublant à chaque fois le nombre de grains. Cette demande semble bien modeste au souverain fort surpris et amusé par l'exercice. Mais le roi n'a jamais pu récompenser Sissa : tout compte fait, il aurait fallu lui offrir non pas un sac, mais 18 446 744 073 709 551 615 grains... soit la somme de toutes les moissons de la Terre pendant environ cinq mille ans !

    Le reste sur : http://classes.bnf.fr/echecs/index.htm

    et plus généralement les dossiers de la Bibliothèque Nationale : http://classes.bnf.fr/classes/pages/inddoss.htm