Polytechnique
Lorsqu'un technicien de surface devient polyvalent, il passe "polytechnicien de surface".
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Lorsqu'un technicien de surface devient polyvalent, il passe "polytechnicien de surface".
Tout le monde connait les notes, connait les joies et les peines d'une bonne ou mauvaise note, a passé des heures à essayer de les faire progresser ou a tout simplement abandonné toute tentative. Quel parent ne s'est pas inquiété plus que de raison pour les notes de son enfant, lequel frôlant de trop près la "barre" du redoublement ? Les politiciens en ont même créé une récemment : celle de vie scolaire. Jacques Nimier nous rappelle sur son site ICI que l'attribution d'une note n'est pas tout à fait aussi évidente que l'on croit et dépend de paramètres que l'on a du mal à maîtriser. On peut toujours se demander à juste titre qu'est-ce qu'une "note" ? - dans le sens d'un nombre associé à l'évaluation d'un travail - et consulter Wikipédia : ICI ( allez-y vous n'allez pas être envahi d'informations superflues, loin s'en faut !!! ). Et si vous trouvez sur le Net la définition d'une "note" plus précise que la banale " évaluation d'un travail", je suis preneur! Je crois qu'il y a un "petit" travail à faire en docimologie... et ceci me conforte d'autant plus dans mon idée profonde qu'inconsciemment et par conséquent, consciemment, le cerveau humain transforme un ensemble complexe de données en nombre ( niveau, note ) afin de permettre un classement.
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Qui n'a pas entendu au cours de sa scolarité, en cours de maths, le prof hurler derrière les oreilles de certains récalcitrants. "Vous ne savez toujours pas que c'est interdit de diviser par zéro ?, depuis le temps qu'on vous le dit....". Et bien là où il y a de la gène, il n'y a pas de plaisir, alors autorisons nous aujourd'hui, jour de charivari autoproclamé par moi, à exceptionnellement diviser par 0. Et comme une division usuelle on supposera que 0/0 = 1/1 = 2/2 = ... = 1 puisqu'il semble naturel qu'une quantité divisée par elle même donne 1.
Ecrivons donc les lignes usuelles de la table de multiplication par 0 qui est la première connue des enfants.
1x0=0
2x0=0
3x0=0
4x0=0
......
et puisqu'aujourd'hui la division par 0 est autorisée, divisons chaque membre de l'égalité par 0 ( on ne change pas une égalité en divisant chacun des membres par un même nombre qui normalement est non nul mais pas aujourd'hui ).
On obtient :
1x0/0=0/0
2x0/0=0/0
3x0/0=0/0
4x0/0=0/0
......
Soit :
1x1=1
2x1=1
3x1=1
4x1=1
......
Egalités qui rendraient bien des bulletins scolaires excellents.
Vive le charivari mathématique....
Archicon : Eh Sacdos, je viens de voir Platon, il m'a parlé de son triptyque, tu sais ce que c'est un triptyque, toi.
Sacdos : Euhh, je crois que que c'est un insecte carnivore.
Archicon : Mais non je t'ai pas dit un dytique mais un triptyque !
Sacdos : Il y a Sigrave qui arrive, on va lui demander. Sigrave tu sais ce que c'est le tryptique de Platon ?
Sigrave : C'est le beau, le vrai, le juste, ici sur terre qui se prolonge idéalement jusqu'au Beau, au Vrai et au Juste.
Sacdos : Tu vois je te l'avais dit
Archicon : N'importe quoi toi, tu m'a parlé d'une bestiole.
Sacdos : Alors si je sors un truc du style 3 + 1 = 0 je ne peux pas le ranger dans le triptyque parce que c'est faux.
Sigrave : Ce n'est pas aussi simple que ça Sacdos, imagine un peu une horloge circulaire , à 12 h 00 tu places le 0, à 15 h 00 le 1, à 18 h00 le 2 et à 21 h 00 le 3. Si tu fais ton opération sur cette horloge elle est vraie !
Sacdos : Trop fort Sigrave. Trop fort.
Archicon : Moi j'ai un truc pour le beau. Regarde ça :
Pour le chevalier de Méré (1607-1684) « La galanterie procède principalement d’une humeur enjouée avec une grande confiance que ce qu’on fait sera bien reçu».
L'article : "la galanterie, une exception française".
Le chevalier de Méré fut homme de lettres et philosophe. Personnage marquant à la cour de Louis XIV, il a acquis auprès des historiens la réputation d'un joueur impénitent... Il se trouve que son intérêt pour ces questions, ainsi que les discussions qu'il eut avec Pascal, en font un précurseur essentiel du calcul des probabilités.
Le jeu de « passe-dix » consiste à jeter trois dés, on gagne si la somme des points obtenus dépasse 10. Le chevalier de Méré constatait qu'en pratique on gagnait plus souvent avec 11 qu'avec 12. Cela contredisait son raisonnement, que voici : «II y a six possibilités de marquer 11 points : {4, 4, 3 }, {5. 3, 3 }, { 5, 4, 2 }, { 5, 5, 1 }, { 6, 3, 2 } , { 6, 4, 1 } et six possibilités de marquer 12 points: {4,4,4}, {5,4,3}, {5,5,2}, {6,3,3}, {6,4,2}, {6,5,1}. Donc la probabilité de marquer 11 est égale à celle de marquer 12. »
L'erreur du chevalier est de s'en tenir aux issues observables et de les croire équiprobables. Or si l'on veut des issues équiprobables, il faut distinguer les dés.
Saurez-vous montrer ( programme de 1ère S ) qu'en distingant les dés, il y a 25 façons d'obtenir 12 et 27 d'obtenir 11 et donc que la probabilité d'obtenir 12 est inférieure à celle d'obtenir 11 ?