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Poésies - Page 4

  • Comment Tartaglia présenta sa solution historique ?

    Au XVIème siècle, en Italie, les mathématiciens s'affairaient à résoudre les équations du 3ème degré, saine occupation qui déchaina néanmoins les passions. Tartaglia et Cardan furent les plus célèbres acteurs d'une transmission de méthode de résolution bien difficile mais faite de façon poétique. C'est dans les vers suivants que les mathématiques firent un pas de géant :

    Quando che'l cubo con le cose appresso
    Se agguaglia a qualche numéro discrète :
    Trovati dui altri différent! in esso.
    Dapoi terrai, questo per consueto,
    Che'l loro produtto, sempre sia eguale
    Al terzo cubo délie cose netto ;
    El residuo poi suo générale,
    Delli lor lati cubi, ben sottratti
    Varrà la tua cosa principale.
    In el secondo, de cotesti atti ;
    Quando che'l cubo restasse lui solo,
    Tu osserverai quest' altri contratti,
    Del numer farai due, tal part'a volo,
    Che l'una, m l'altra, si produca schietto,
    El terzo cubo délie cose in stolo ;
    Délie quai poi, per commun precetto,
    Torrai h lati cubi, insieme gionti,
    Et cotai somma, sarà il tuo concetto ;
    El terzo, poi de questi nostri conti,
    Se solve col secondo, se ben guardi
    Che per natura son quasi congionti.
    Questi trovai, et non con passi tardi
    Nel mille cmquecent'e quattro e trenta ;
    Con fondamenti ben saldi e gaghardi
    Nella Città del mar intorno centa.

    Impressionnant n'est-ce pas ?

    Pour un début de traduction : ICI

    Et pour la fin du poème ça ressemble à :

    Je trouvai tout ceci, et sans m'attarder
    En l'an mil cinq cent trente-quatre;
    Sur des fondements solides et inébranlables
    Dans la Cité tout entière ceinte par la mer.

    Les mésaventures d'un mathématicien à la Renaissance rédigées de façon humoristique par Jean-Marc Dewasme ( PDF ) : ICI

    Littérature : Histoire des sciences en Italie depuis la renaissance des lettres jusqu'à la fin du XVIIème par Guillaume Libri : ICI



     

  • L'or noir

    [...]
    Un souffle de vent et immobile, je repars avec toi.
    Je te regarde, de loin, la grâce de ta silhouette, ta chevelure fière et noire, ton corps de femme qui danse le ballet de la vie. Je me demande si tu as parlé à Hypatie, si tu as lu ses commentaires sur L'Arithmétique de Diophante ou sur Les Tables de Ptolémée.
    J’avais été frappé par la clarté de ses remarques sur Les Coniques d'Apollonius de Perga.
    [...]

    L'intégralité de ce très beau texte ICI

  • Maths et poésie

    Pythagore et Thalès sont deux mathématiciens
    Qui ont vécu dans des siècles très anciens
    Moi je souhaite être un jour comme eux
    Et je le serai, sans doute, si mon dieu le veut
    Trapèze, losange, carré et triangle
    Sont tous des figures sans oublier le rectangle
    Avec de différents outils, on les a tracés
    Et avec la gomme tu peux les effacer
    Les maths et la physique sont deux frères inséparables
    Même s'ils ne sont pas tout a fait semblables
    On trouve beaucoup et trop de choses dans la physique
    Citons par exemple : l'électricité et l'optique
    Et voila notre géant mathématicien El-Kashé
    Qui nous a donné l'honneur qu'on a longtemps cherché
    Les arabes musulmans ont beaucoup donné à l'humanité
    Et personne n'a le droit de dire que ce n'est pas la vérité.

     

    L'auteur tient un blog qu'il offre à son professeur de mathématiques, à ses amis et tous les mathématiciens du monde : ICI

  • Haïku du jour

    Cercles ou bulles
    Germes fins prêts au combat
    Un, deux, trois, partons

  • Poésies autour des mathématiques

    Au delà des mathématiques par GMC : ICI

    Poétiques mathématiques : ICI

    Poésie et géométrie ( dont les décimales de Pi ) : ICI

    Poésies de collège : ICI

    Poèmes mathématiques : ICI

    ( à suivre ... )