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tartaglia

  • Histoire des mathématiques

    Titre
    Nature du document
    CARDAN : deux exercices du second degré
    Gérard HAMON, novembre 2006
    document PDF histoire
    D'Al Khwarizmi à Cardan : les débuts de l'algèbre
    Gérard HAMON, 2006
    document PDF histoire
    Traduction d'un écrit de Tartaglia
    Gérard HAMON, septembre 2006
    document PDF histoire
    Luca PACIOLI
    La divine proportion
    document PDF histoire
    Arithmétique
    Programme de première et terminale L
    conférence
    Léonard de Pise ou Fibonacci - Les débuts de l'algèbre
    Liber Abaci
    document PDF histoire
    Mathématiques, Sciences, Education autour 1789 en Bretagne
    document complet
    Nicolas Chuquet - Calcul de racines carrées
    Le triparty en la science des nombres
    document PDF histoire
    Jérôme Cardan
    document PDF histoire
    Activités mathématiques à propos de la mesure de la Terre
    article Repères-Irem
    Rafael BOMBELLI
    document flash histoire

    La page de l'IREM de Rennes est ICI

  • Comment Tartaglia présenta sa solution historique ?

    Au XVIème siècle, en Italie, les mathématiciens s'affairaient à résoudre les équations du 3ème degré, saine occupation qui déchaina néanmoins les passions. Tartaglia et Cardan furent les plus célèbres acteurs d'une transmission de méthode de résolution bien difficile mais faite de façon poétique. C'est dans les vers suivants que les mathématiques firent un pas de géant :

    Quando che'l cubo con le cose appresso
    Se agguaglia a qualche numéro discrète :
    Trovati dui altri différent! in esso.
    Dapoi terrai, questo per consueto,
    Che'l loro produtto, sempre sia eguale
    Al terzo cubo délie cose netto ;
    El residuo poi suo générale,
    Delli lor lati cubi, ben sottratti
    Varrà la tua cosa principale.
    In el secondo, de cotesti atti ;
    Quando che'l cubo restasse lui solo,
    Tu osserverai quest' altri contratti,
    Del numer farai due, tal part'a volo,
    Che l'una, m l'altra, si produca schietto,
    El terzo cubo délie cose in stolo ;
    Délie quai poi, per commun precetto,
    Torrai h lati cubi, insieme gionti,
    Et cotai somma, sarà il tuo concetto ;
    El terzo, poi de questi nostri conti,
    Se solve col secondo, se ben guardi
    Che per natura son quasi congionti.
    Questi trovai, et non con passi tardi
    Nel mille cmquecent'e quattro e trenta ;
    Con fondamenti ben saldi e gaghardi
    Nella Città del mar intorno centa.

    Impressionnant n'est-ce pas ?

    Pour un début de traduction : ICI

    Et pour la fin du poème ça ressemble à :

    Je trouvai tout ceci, et sans m'attarder
    En l'an mil cinq cent trente-quatre;
    Sur des fondements solides et inébranlables
    Dans la Cité tout entière ceinte par la mer.

    Les mésaventures d'un mathématicien à la Renaissance rédigées de façon humoristique par Jean-Marc Dewasme ( PDF ) : ICI

    Littérature : Histoire des sciences en Italie depuis la renaissance des lettres jusqu'à la fin du XVIIème par Guillaume Libri : ICI