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Quel beau métier professeur - Page 72

  • La grille horaire des enseignants du second degré

    Il est bon de lire les motifs qui sont proposés pour l'audit  concernant l'enseignement secondaire : ICI

    Les autres audits de modernisation effectués par le Ministère des Finances : ICI

  • De l'infiniment grand à l'infiniment petit

     Les puissances de 10 en images : ICI

  • Les épreuves et les enjeux de la culture scolaire

    Il faut prendre conscience que nous sommes dans un monde où les principes qui commandent l'action, l'action individuelle comme l'action publique sont multiples et contradictoires. Nous voulons à la fois, l'égalité et l'excellence, la tradition et l'ouverture au monde, l'esprit critique et l'entrée dans la société, la discipline et le libre consentement des élèves, la nation et le respect des cultures... Bref nous sommes invités à arbitrer à choisir et à combiner des positions modérées car elles sont les moins pires. Evidemment, cela peut vite apparaitre comme un renoncement, une abdication, une certaine étroitesse de vue, une dérobade pragmatique. Mais le véritable attachement aux valeurs de l'éducation consiste moins à les affirmer obstinément qu'à se demander comment il est possible de les accomplir.

     

    François Dubet - La crise de la culture scolaire - PUF

  • Le point de l'erreur tolérée

    Ce matin je corrigeais un paquet de copies sur les tableaux de signes d'une classe de seconde et comme l'interrogation était un peu trop longue ( les élèves ont raison, je fais souvent des interros un peu longues, mais j'en donne suffisemment pour occuper la totalité du temps des plus rapides) , je me suis dit que j'allais leur rajouter un point.

    Je déteste argumenter cette démarche, ayant presque envie de dire que c'est un cadeau. J'ai toujours refusé le point de présentation contenu dans la note sur 20 d'autant plus qu'ici ce n'est pas le cas puisque le barème est sur 20 et avec le point supplémentaire le total fait 21 !

    Mais ce matin, j'ai eu une idée ! L'interrogation était longue et nécessitait d'assez nombreuses transformations d'écritures, des factorisations et une attention soutenue pour ne pas se tromper dans les signes.

    Et si ce point était le point de l'erreur, c'est à dire le point donné pour la possibilité de commettre une erreur correspondant à 1 point soit 5% de la note maximale. L'idée me parait séduisante et c'est comme cela que je le présenterai en classe. Je verrai la réaction ( sans doute bonne, car lorsqu'il s'agit de points supplémentaires, les élèves ne trouvent jamais à redire ).

    Une note relevée d'un point pourrait donc être interprétée comme note donnée avec une marge d'erreur à 5%, pour l'élève et donc pour le professeur.
    Une note relevée de 2 points pourrait être interprétée comme donnée avec une marge d'erreur à 10% ( je ne l'ai pas encore envisagé).

    Dans le cas présent, les élèves n'étaient pas informés de ce point supplémentaire, mais quelle serait la conséquence de la connaissance préalable de cette information ? Le sens donné à ce point supplémentaire serait-il toujours compris dans le sens de "tolérer un petit droit à l'erreur" ?

  • Docimologie

    Cliquer sur le texte suivant pour aller sur le site de Jacques Nimier

    La docimologie ça compte !