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Pour les parents - Page 2

  • Le Code FLX

     

    Active ton flow, maîtrise ton énergie, choisis ta direction.

     

    C’est quoi ?

    Le Code FLX, c’est une méthode simple pour apprendre à :

    • ressentir ce qui se passe en toi sans te laisser déborder,
    • comprendre ton énergie (stress, énervement, excitation, blocage…),
    • et la transformer en mouvement juste.

     

    Comment ça marche ?

    Le Code FLX repose sur 4 piliers :

    1. Réguler ton énergie
      → Ne pas exploser, ni tout bloquer. Tu apprends à doser.
    2. Intégrer ce que tu vis
      → Comprendre ce que tu ressens sans te juger. Donner du sens.
    3. Habiter ton flow
      → Être présent dans ce que tu fais. Pas en pilotage automatique.
    4. Suivre ta joie
      → Utiliser ce qui te rend vivant comme boussole. Même dans les moments difficiles.

     

    Pourquoi c’est utile ?

    • Tu deviens plus stable face au stress.
    • Tu prends de meilleures décisions.
    • Tu sais quoi faire de ce que tu ressens.
    • Tu te sens plus libre, plus fluide, plus toi.

     

    CODE FLX, c’est pas pour être parfait. C’est pour être vivant — avec justesse.

     

     

    Les 5 noms piliers du Code FLX — version ado fluïenne du Flux Intégral

     

    1. Flux Vivant  pour remplacer Flux pulsionnel
      → L’énergie brute qui traverse. « Vibe naturelle, L’Energie qui pulse en toi, Ton moteur intérieur » ».

    2. Regul’Flow pour remplacer RIACP ( Régulation et Inhibition Adaptative du Champ Pulsionnel)
      → L’art de réguler sans bloquer. « Maîtrise Cool, Flow Équilibre, Contrôle Cool »

    3. Vision Connectée pour remplacer ICPME ( Intégration du Champ Pulsionnel Multi-Echelles)
      → Comprendre ce qu’on vit à tous les niveaux. « Ta vision 360, Boussole Intérieure ».

    4. Ancrage Dynamique  pour remplacer Posture-Flux
      → Se placer dans le moment avec justesse. « Ton Mode Présent. Ici et Maintenant. Présence Agile. ».

    5. Flow Joie  pour remplacer Flux-Joie
      → La vibration claire quand tout est en place. «  Flow Good Vibes. Joie Alignée. Pures Vibes. ».

     

     

    Micro Code FLX - 2 minutes chrono :

    1. Check météo (30 sec)
    "Sur une échelle de 1 à 10, où vous en êtes niveau énergie ? Levez vos doigts... Ok, je vois qu'on est pas tous au même endroit."

    2. Respiration reset (30 sec)
    "Allez, tout le monde debout. 3 respirations profondes ensemble. On évacue ce qu'il y a avant, on arrive ici."

    3. Intention minute (1 min)
    "Qu'est-ce que vous voulez retirer de cette heure ? Pas ce que vous devez faire, ce que VOUS voulez en tirer. 10 secondes de réflexion... Qui veut partager en 5 mots max ?"

    Variantes selon le contexte :

    Version "post-tension":
    "Stop. Qu'est-ce qui se passe en vous là ? Colère, frustration, fatigue ? Ok, on pose ça 10 secondes... Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait de cette énergie ?"

    Version "boost" :
    "On secoue tout ! Épaules, mains, pieds... Et là, qu'est-ce qui vous rend vivants aujourd'hui ? Une chose, même petite."

    Version "recentrage" :
    "Yeux fermés 30 secondes. Juste sentir ses pieds au sol, sa respiration. Vous êtes où, maintenant ?"

    L'idée : rituel court, concret, qui les ramène dans l'instant présent avant de bosser.​​​​​​​​​​​​​​​​

     

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  • Arrêter de regarder compulsivement en mode automatique son smartphone avec le Flux Intégral

     

    Pour arrêter de regarder compulsivement son portable, il est utile de combiner prises de conscience, techniques de régulation pulsionnelle (RIACP), et reconfigurations de l’environnement. Voici une méthode structurée en 7 étapes, articulée selon les principes du Flux Intégral :

     

    1. Prendre conscience du flux-pulsionnel lié à l’usage du portable

    • Questions clés : Que cherches-tu réellement quand tu ouvres ton téléphone ? Une notification ? Une distraction ? Un soulagement ?
    • Objectif : Identifier le point d’ancrage pulsionnel, c’est-à-dire le besoin sous-jacent (connexion, contrôle, reconnaissance, évitement de l’ennui…).

     

    2. Créer un ralentisseur de réflexe

    • Installe une friction volontaire : par exemple, mettre ton écran d’accueil vide, désactiver les notifications, placer une image fluïenne ou une question (“Qu’est-ce que je fuis ?”) en fond d’écran.
    • Utilise une application de barrière consciente (ex. : One Sec, Forest, Digital Wellbeing) qui t’oblige à attendre quelques secondes ou à respirer avant d’accéder à certaines apps.

     

    3. Réguler en amont (RIACP)

    • Phase pré-pulsionnelle : repère les contextes où tu es le plus vulnérable (fatigue, stress, transitions, attente).
    • Instaure un rituel de recentrage : respiration, ancrage, micro-mouvement (étirement, changement de posture).
    • Mantra RIACP possible : “Je ne fuis pas le vide, je le traverse.

     

    4. Activer des contre-loops attracteurs

    • Remplace les micro-moments de check par d’autres micro-actions à haut potentiel de flux-joie :
      • Gribouiller,
      • Écouter une musique ciblée,
      • Noter une idée,
      • Observer quelque chose dans l’environnement réel.

     

    5. Reprogrammer ton espace-temps pulsionnel

    • Définis des zones et moments sans téléphone (WC, lit, repas, bus…).
    • Introduis un rituel d’entrée/sortie du smartphone : se poser une intention avant de l’ouvrir, et une petite clôture (inspiration, mot clé, posture).

     

    6. Mobiliser un appui externe ou symbolique

    • Crée un totem de rappel (bracelet, galet, mot-clé sur toi) qui incarne ton choix de régulation.
    • Informe un proche de ta démarche (effet de miroir).
    • Consigne tes réussites dans un carnet ou une note pour intégrer l’expérience régulée (ICPME).

     

    7. Revenir à une posture-flux

    • Observe le moment où ton attention revient à toi sans téléphone : comment te sens-tu ?
    • Valorise ces micro-instants comme des victoires de présence.
    • Si possible, transforme l’énergie pulsionnelle en création, jeu, exploration réelle.

     

  • Les énergies du Flux intégral: Infraflux, Surflux et Équiflux

     

    Les énergies du flux intégral

     

    On vit, à chaque instant, une manière différente de gérer notre énergie intérieure.

    Voici trois états que tu peux reconnaître en toi :

    • Infraflux
      C’est quand ton énergie est trop basse. Tu te sens ralenti, distrait, absent ou comme “éteint”. Tu n’as pas envie d’agir, tu te retires.
    • Surflux
      C’est quand ton énergie déborde. Tu te sens agité, tendu, dispersé ou trop rapide. Tu réagis sans pouvoir t’arrêter.
    • Équiflux
      C’est l’équilibre juste. Tu es concentré, calme et présent. Tu ressens une force tranquille qui t’aide à bien faire les choses.

    Balle anti-stress et Flux Intégral

    La balle anti-stress, au-delà de son usage classique, devient dans le cadre du flux intégral un véritable outil pédagogique pour faire ressentir les dynamiques fondamentales du champ pulsionnel. Elle permet un accès sensible et incarné aux trois états du flux : infraflux, surflux et équiflux.

    Geste associé :

    Presser la balle, la maintenir, la relâcher — en conscience.

    Lien avec la régulation du flux pulsionnel (RIACP)

    La balle anti-stress donne un accès tactile et immédiat aux trois états dynamiques du flux :

    1. Infraflux – trop peu d’énergie exprimée

    - La pression est faible, voire absente.
    - Le geste est mou, inaffectif, inactif.
    - Cela renvoie à un état de blocage, refoulement ou désinvestissement du flux.
      Sensation : rien ne circule, le flux est comme suspendu.
      Risque : repli, inhibition, déconnexion.

    2. Surflux – trop d’énergie d’un coup

    - La pression est brusque, forte, expulsive.
    - Cela renvoie à un débordement pulsionnel, un excès de flux non régulé.
      Sensation : perte de contrôle, crispation.
      Risque : agir sous la contrainte du flux sans médiation.

    3. Équiflux – flux régulé, incarné, habité

    - La pression est ajustée : ni trop forte ni trop faible.
    - Le geste est plein, stable, senti.
    - On entre dans une qualité d’accord avec son flux : équilibre entre intention, tension et relâchement.
      Sensation : calme actif, présence, plaisir de la régulation.

    Conclusion:

    La balle n’est pas qu’un exutoire : elle devient un miroir tactile du flux pulsionnel. Elle permet de sentir quand on n’est pas dedans (infraflux), quand on déborde (surflux), et surtout quand on y est : en équiflux.

  • Au cœur du champ pulsionnel

     

    Le champ pulsionnel

    Définition simple :

    Le champ pulsionnel est l'ensemble des forces intérieures qui nous poussent à bouger, agir, ressentir, penser, parler, créer ou réagir. C’est une sorte de mer intérieure d’énergies vivantes, toujours en mouvement, qui cherche à s’exprimer.

    Description du mouvement :

    Ces forces ne sont pas ordonnées au départ : elles montent, descendent, se croisent, s’amplifient ou s’inhibent. Elles peuvent être très fortes (envie, colère, élan créatif) ou très faibles (repli, lassitude).

    Travail du sujet :

    Le travail de l'élève (et de tout sujet vivant) est d'apprendre à sentir, réguler et intégrer ce champ de forces :
    - pour ne pas être débordé (surflux),
    - ni bloqué (infraflux),
    - mais au contraire habiter ce flux de manière fluide et créative (équiflux).

    Image simple :

    Imagine un vent intérieur :
    - S’il est trop faible, tu n’avances pas.
    - S’il est trop fort, tu es emporté.
    - S’il est bien régulé, il te porte.

    Le champ pulsionnel, c’est ce vent de vie à l’intérieur de nous.

     

    Boule à plasma et champ pulsionnel

    La boule à plasma est un support pédagogique visuel et interactif pour illustrer le champ pulsionnel. Elle permet de rendre tangible la nature vivante, mobile, et réactive de ce champ intérieur, constitué d’élans, d’impulsions et de forces en mouvement.

     

    Description de l’objet :

    La boule à plasma est une sphère en verre contenant un gaz excité électriquement. Des filaments lumineux apparaissent à l’intérieur, formant des arcs électriques qui bougent sans cesse. Quand on approche la main, les filaments se réorganisent en direction de la source d’attraction.

     

    Geste associé :

    Observe les filaments se former spontanément, puis approche la main pour voir comment l’énergie se réorganise vers elle.

     

    Lien avec le champ pulsionnel :

    - Les filaments symbolisent les impulsions du champ pulsionnel : désirs, élans, tensions, émotions.

    - Leur mouvement spontané illustre le caractère vivant, mouvant, et imprévisible du champ.

    - La main extérieure représente une stimulation du monde : le champ s’adapte, se réoriente, mais conserve sa vitalité.

    -  Le champ pulsionnel est réactif, plastique, mais aussi porteur d’une force propre.

     

    Lien avec le flux intégral :

    - Le champ pulsionnel est la source dynamique du flux.

    - La boule rend visible la nécessité de réguler et d’orienter ce champ pour qu’il ne soit ni inhibé (infraflux), ni débordant (surflux), mais exprimé dans un régime d’équiflux.

    - Elle permet une première prise de conscience du “dedans qui bouge”.

     

    Conclusion:

    La boule à plasma donne accès à une perception concrète et intuitive du champ pulsionnel. Elle permet de visualiser ce que l’on ressent rarement de façon aussi claire : la vie intérieure comme champ mouvant, à écouter, réguler et habiter consciemment.

  • Méthode générale d’apprentissage avec le Cerf-Flux ( Flux intégral)

    1.     Phase 1 Ancrage

    Pour entrer efficacement dans un moment d’apprentissage scolaire

    L’ancrage, c’est le moment juste avant de commencer à apprendre.

    C’est ce qui permet de se poser, de clarifier, et de préparer mentalement le travail à venir.

    Un bon ancrage = un terrain clair, stable, prêt à accueillir le savoir.

     

    Trois dimensions essentielles de l’ancrage :

     

    1. Stabiliser le corps et l’attention

    (Créer un espace intérieur et extérieur propice à l’apprentissage)

    1. Posture – Je m’installe de manière stable, droite, sans tension.

    2. Respiration – Je prends 2 souffles calmes pour entrer dans le moment.

    3. Regard – Je m’ouvre à l’environnement : je lève les yeux, je vois où je suis.

    4. Silence – J’accueille un petit moment de calme, même bref.

    5. Présence – Je prends conscience que je suis là, ici, maintenant.

     

    2. Clarifier ce que je vais faire

    (Activer une vision claire et simple de la tâche)

    6. Clarté – Est-ce que je sais ce qu’on me demande ? Si besoin, je reformule.

    7. Cadrage – Je délimite la tâche : où ça commence, où ça finit.

    8. Objectif – Je me donne une intention : comprendre, avancer, repérer, tester.

    9. Intitulé actif – Je transforme la consigne en action mentale claire : “Je vais chercher…”, “Je vais vérifier…”.

     

    3. Préparer ses outils mentaux

     

    (Activer les bases cognitives pour mieux traiter l’information)

    10. Lien – Est-ce que j’ai déjà vu un truc qui ressemble ? Je réactive ce que je connais.

    11. Plan d’attaque – Je choisis comment je vais m’y prendre : lire en entier ? surligner ? faire un schéma ?

    12. Repères – Je cherche ce qui peut m’aider à m’orienter : titres, mots-clés, exemples.

    13. Organisation mentale – Avant de plonger, je range un peu mes idées pour ne pas tout mélanger.

     

    Rappel – Un bon ancrage :

    • Ce n’est pas encore apprendre, mais c’est déjà préparer le cerveau à apprendre.

    • Ça prend 30 secondes à 2 minutes, mais ça peut changer toute la séance.

    • C’est personnel : chaque élève peut trouver sa propre façon d’entrer dans le travail, à partir de cette grille.

     

    2.     Phase 2 Régulation

    Ajuster son état intérieur pour mieux apprendre et résoudre en mathématiques)

    Une fois ancré, il est courant de ressentir des tensions, blocages ou dispersions.

    La régulation, en maths, permet d’ajuster son fonctionnement intérieur pour pouvoir entrer dans une pensée claire, stable et logique.

     

    Trois dimensions essentielles de la régulation :

     

    1. Identifier son état intérieur

    (Repérer ce qui gêne ou freine la résolution ou la compréhension)

    1. Énergie – Est-ce que je suis trop fatigué pour réfléchir ? ou trop agité pour poser mes idées ?

    2. Tension mentale – Suis-je tendu devant un énoncé difficile ? Ai-je peur de ne pas y arriver ?

    3. Démotivation – Ai-je déjà envie d’abandonner avant même d’avoir essayé ?

    4. Flou cognitif – Est-ce que je suis confus ? Est-ce que je saute des étapes dans ma tête ?

    5. Saturation – Ai-je déjà trop de choses en tête ? Est-ce que je mélange les notions ?

     

    2. Ajuster son état de manière active

    (Trouver une stratégie simple pour relancer la pensée mathématique dans de bonnes conditions)

    6. Pause courte – Je respire, je ferme les yeux, je laisse retomber la pression pendant 20 secondes.

    7. Changement d’entrée – Je reprends l’énoncé à voix haute, je le réécris ou je le schématise.

    8. Mini-objectif – Je me dis : “Juste comprendre les données”, ou “Juste poser les hypothèses”.

    9. Réassurance – Je me rappelle que chercher, c’est normal en maths. On n’a pas la réponse tout de suite.

    10. Changement de méthode –

    • Je passe des mots aux lettres (traduction)

    • Je fais un dessin

    • Je cherche un exemple simple

    • Je teste un cas particulier

     

    3. Relancer la pensée mathématique dans un bon rythme

    (Sortir du blocage et relancer une dynamique logique et progressive)

    11. Tempo personnel – Je prends le temps d’écrire chaque étape, même si elle me semble “évidente”.

    12. Clarté progressive – J’accepte de ne pas tout comprendre tout de suite, je clarifie étape par étape.

    13. Canal préféré – Si j’ai du mal à lire, je passe par le dessin ; si j’ai du mal à écrire, je parle ou j’explique.

    14. Dézoom mental – Je fais une pause pour reprendre de la hauteur : “Quel est l’objectif du problème ?”

    15. Stabilisation – Je vérifie que je suis à nouveau concentré et calme, prêt à relancer le raisonnement.

     

    Rappel – Régulation en maths = revenir à un esprit clair, méthodique et disponible

    • Ce n’est pas grave d’être bloqué. Ce qui compte, c’est de savoir quoi faire quand on l’est.

    • La régulation n’est pas une perte de temps, c’est le préalable à toute vraie compréhension.

    • Plus je développe ces réflexes, plus je deviens autonome face à des exercices difficiles.

     

    3.     Phase 3 – Flux-Joie ( Cas particulier des Maths – Lycée)

    (Trouver l’élan pour entrer dans une démarche mathématique vivante et motivante)

    En mathématiques, on peut vite basculer dans le mécanique ou le bloqué.

    La phase de Flux-Joie, c’est le moment où l’on cherche à réanimer le plaisir de comprendre, de chercher, de voir les idées se relier.

    Ce n’est pas une euphorie : c’est un petit courant d’intérêt, un goût du défi, une curiosité qui remet la pensée en mouvement.

    Trois dimensions essentielles du Flux-Joie en mathématiques :

    1. Créer une accroche personnelle dans l’exercice

    (Chercher un petit point d’intérêt ou un défi stimulant)

    1. Curiosité – Est-ce que quelque chose m’intrigue dans l’énoncé ? Un mot ? Une forme ? Une question inattendue ?

    2. Mini-défi – Est-ce que je peux prendre ça comme un jeu ou un défi personnel : “Je vais au moins trouver la première étape” ?

    3. Lien avec le réel – Est-ce que ce problème peut me rappeler quelque chose de concret ? Une situation ? Un graphique ?

    4. Beauté – Est-ce qu’il y a une logique élégante, une simplicité cachée que je peux essayer de découvrir ?

    5. Forme ludique – Est-ce que je peux m’amuser à changer la forme : poser ça comme une énigme, inventer un code, transformer en dessin ?

     

    2. Valoriser le mouvement de pensée

    (Donner du sens à l’effort de chercher, d’essayer, d’ajuster)

    6. Goût de la recherche – Je valorise le fait de chercher, même si je ne trouve pas immédiatement.

    7. Étapes visibles – Je note mes idées, mes essais, mes erreurs : ça devient une trace vivante.

    8. Auto-surprise – Je me rends disponible à être surpris : “Tiens, je n’avais pas vu ça comme ça !”

    9. Connexion aux autres idées – Est-ce que ça me fait penser à un autre chapitre ? à une méthode vue récemment ?

    10. Émergence – J’observe quand quelque chose devient clair d’un coup. Je note cette sensation. Elle nourrit ma motivation.

     

    3. Entretenir l’élan sans pression

    (Soutenir la dynamique sans chercher la perfection)

    11. Satisfaction locale – Même si je ne termine pas l’exercice, est-ce que j’ai compris une chose de plus ?

    12. Rythme porteur – Est-ce que je peux garder une cadence motivante : pas trop lent, pas trop rapide ?

    13. Engagement actif – Est-ce que je suis encore en train de jouer avec les idées, ou juste d’attendre la solution ?

    14. Respiration du travail – J’alterne entre moments d’effort, de recul, de test, de reformulation.

    15. Lâcher-prise stratégique – Si ça ne vient pas maintenant, je le laisse de côté sans culpabilité. L’élan peut revenir plus tard.

     

    Rappel – Flux-Joie = travailler en mouvement, pas en tension

    • La joie en maths, ce n’est pas forcément aimer les maths : c’est ressentir un petit flux vivant quand les idées circulent.

    • On peut apprendre à le provoquer, le repérer et l’entretenir, même par petites touches.

    • Ce n’est pas un état permanent, mais une ressource précieuse pour avancer, surtout dans les moments difficiles.

     

    4.     Phase 4 – Orientation

    (Donner du sens, relier, structurer ce que j’apprends en maths)

    Après l’élan du Flux-Joie, il est essentiel d’orienter le travail pour éviter de se disperser, ou de perdre la cohérence du raisonnement.

    En maths, l’orientation, c’est :

    • Se situer dans une grande carte du savoir

    • Comprendre le but de ce qu’on fait

    • Créer des liens avec d’autres notions, chapitres ou domaines

     

    Trois dimensions essentielles de l’orientation en mathématiques :

     

    1. Situer ce que je fais dans un ensemble plus grand

    (Relier l’exercice ou la notion au chapitre, à l’année, au réel)

    1. Carte mentale – Dans quel chapitre suis-je ? Quel est le “pays” mathématique de cet exercice (fonctions, géométrie, suites…) ?

    2. Vision d’ensemble – À quoi sert cette méthode ou cette notion dans le grand parcours des maths ?

    3. Application – Est-ce que ça pourrait servir dans un exercice type bac ? Dans un problème réel ?

    4. Relativité – Est-ce que cette difficulté est ponctuelle ou récurrente ? Est-ce qu’elle appartient à une famille d’idées ?

    5. Perspective – Est-ce que je suis sur un point de détail ou sur une idée structurante du programme ?

     

    2. Relier ce que j’apprends à d’autres savoirs

    (Créer des ponts entre les notions, les matières, les compétences)

    6. Connexion inter-chapitres – Est-ce que j’ai déjà rencontré cette technique ailleurs ? (ex : équation dans un problème, dérivée dans un tableau de variations…)

    7. Lien entre formes – Est-ce que je peux passer d’une représentation à une autre ? (graphique, algébrique, géométrique)

    8. Transversalité – Est-ce que je peux relier ça à une autre matière ? (physique, économie, informatique…)

    9. Méthode transférable – Cette méthode, puis-je la réutiliser ailleurs, dans un autre type d’exercice ?

    10. Réflexe logique – Est-ce que je commence à reconnaître des structures ? Des raisonnements typiques ?

     

    3. Donner une direction personnelle à mon apprentissage

    (Me situer dans ma propre progression, mes besoins, mon style de pensée)

    11. Positionnement personnel – Est-ce que je maîtrise déjà cette notion ? Est-ce une priorité pour moi de la consolider ?

    12. Style de pensée – Est-ce que je comprends mieux en dessinant ? En écrivant ? En parlant ? En manipulant ?

    13. Objectif long terme – En quoi ce que j’apprends m’approche de mes objectifs (études, métier, confiance…) ?

    14. Évolution – Est-ce que je progresse par rapport à la dernière fois ? Est-ce que j’affine mes outils ?

    15. Choix stratégique – Sur quoi je choisis de mettre mon énergie maintenant ? Qu’est-ce que je reporte ?

     

    Rappel – Orientation = se repérer dans le paysage des maths

    • C’est ce qui permet de donner du sens, de garder le cap, et de ne pas se perdre dans les détails.

    • Mieux je me repère, plus je peux organiser ma pensée, gérer mon effort et relier ce que j’apprends.

    • Cette phase rend les maths cohérentes, connectées, et adaptées à qui je suis.

     

    5.     Phase 5 – Syntonie

    (Stabiliser ce qui a été compris, sans effort supplémentaire)

    Une fois l’exercice ou la séance terminée, on ne passe pas tout de suite à autre chose.

    On prend 30 secondes pour laisser l’apprentissage se poser.

     

    Mini-rituel de Syntonie (3 étapes simples)

    1. Pause intérieure

    Je ferme les yeux ou je regarde au loin. Je respire une fois.

    Rien à faire. Juste laisser reposer.

     

    2. Phrase-réflexe

    Je me dis (ou j’écris) une phrase simple :

    • “Ce que j’ai compris…”

    • “Ce que je retiens…”

    • “Ce qui a changé pour moi…”

     

    3. Trace de stabilisation

    J’écris un mot-clé, un mini-schéma ou une phrase-clé dans la marge ou dans un coin de la page.

    C’est la trace de ce qui a été intégré.

     

    Pourquoi c’est utile ?

    • Pour consolider la mémoire.

    • Pour réduire la charge mentale.

    • Pour sentir le progrès au lieu de zapper tout de suite.

    • Pour que le cerveau continue à travailler sans effort.

     

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