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Qu'est-ce que les mathématiques?

Les mathématiques sont-elles le langage de la Nature ?

Si ce n'est pas le cas, pourquoi décrivent-elles aussi bien la réalité ?

Dieu est-il mathématicien ou les mathématiques sont-elles d'ordre divin ?

Le temps joue-t-il un rôle en mathématiques ?

Les vérités mathématiques sont-elles éternelles, inusables, périssables, ont-elles un commencement, voir une fin ?

Les mathématiques dépendent-elles des mathématiciens qui les trouvent ?

Les mathématiques sont-elles utiles, nécessaires ou est-ce un simple jeu de l'esprit ?

Tout est-il mathématiquement découvert ?

A juste titre nous pouvons nous poser la question :

 

Qu'est-ce que les mathématiques ?


C'est un petit texte que j'ai écrit afin de présenter les différents mouvements constituant l'histoire des mathématiques à mes élèves de lycée.


Qu'est-ce que les mathématiques ?

 

Pour compléter, entre le platonisme, l'empirisme et les paradoxes, une très bonne conférence à écouter ( il y a un décalage son/image) de Canal-U

(source: Philosophie des mathématiques)

 

Le monde est-il mathématique ?

 

 

Commentaires

  • Rétro-théorème

    Staley Kubrick avec son film 2001 odyssée de l’espace, nous a éblouis, d’une espèce de lumière noire, tellement enivrante, tellement psychotique.
    Avant Stanley, il y avait Arthur.
    Arthur, avant d’être écrivain, est un scientifique, gavé de science et de mathématique.
    Son livre commence avec la venue d’un monolyte, qui comme une force, donne l’énergie à nos chimpanzés, une énergie créatrice qui fera d’eux des hommes.
    Monolyte, qui comme il nous l’avouera à la fin de son livre, n’est pas un morceau de vie envoyé par quelques nations extraterrestres, non, juste un code mathématique créé par une matrice elle aussi mathématique qu’est l’univers. Le monolithe était donc un théorème qui dérivait là dans l’espace et qui a eut la mauvaise idée d’atterrir sur la terre.
    Telle est le message d’Arthur, un code mathématique qui envoi un autre cde mathématique, telle des ordinateurs, et voila, le tour est joué, la vie peut jaillir.
    Je l’ai déjà dit, Arthur est un scientifique, et sa vision du monde et de l’univers sont elles aussi scientiste, et sur la ligné de tous les scientifiques et de tous les philosophes, tout ne vient que code mathématique, telle une vérité absolue dans laquelle nous baignerons
    Hum … essayons d’être plus réaliste.
    Pour cela, commençons à mettre les choses sur la table.
    La base des mathématiques, est de prendre un élément, puis un autre, de les mettre ensemble afin de voir le résultat en relation à une opération. Cette opération se fait en partant du principe que les deux éléments sont bien distinct l’un de l’autre, qu’il non rien avoir ensemble. Dés le départ, nous partons d’un principe faux, qui n’existe pas, qui n’existe nulle part dans l’univers, tous les phénomènes, quels qu’ils soient, sont intimement liés les uns aux autre, d’une façon ou d’une autre, et il n’est pas possible de séparer l’un du multiple, de définir des éléments existant par eux même de façon distinct. Le continuum « un / multiple » peut être déformé par une force, déformé, rien d’autre.
    Les mathématiques sont comme une force, comme un estomac, qui analyse, c’est lui sépare les éléments pour arriver au produit final, un substrat au nom de « résultat ».
    Dans le cadre de la digestion, le but est, avec toute cette nourriture avalée, est de séparer les éléments des uns des autres, pour donner les molécules de base nécessaire au corps, nécessaire à la vie de l’individu porteur de l’estomac.
    Les mathématiques sont une force, comme celle par exemple lié au concept de rond, et ou avec Pi, on tombe sur tut ce qui à attrait au rond, dans sa forme la plus irréductible possible.
    Cette digestion servira à tous nos petits artistes, pour créer des ronds parfait, ou presque tout au moins.
    C’est dans ce sens que je dis que les mathématiques sont une force, il s’applique sur son sujet pour lui donner une incidence.
    Les mathématiques sont donc comme un petit bras musclé, qui donne forme aux choses, qui les développe.
    La grande question est la suivante :
    Cette force mathématique existe-t-elle dans l’univers, comme une espèce d’origine, où comme le résultat d’un petit bras musclé qui va donner forme aux choses.
    Une chose est certaine, car dans les mathématiques il faut être certain de tout, Monsieur nombre est né de mon cerveau, et mon cerveau est planté là sur mon corps, à savoir sur un individu vivant. Dans mon cas, monsieur nombre est né d’un petit muscle, à savoir mon cerveau, lui-même lié à la vie, Monsieur nombre est donc le fruit de la vie et pas le contraire.
    On me répondra alors que la vie est elle-même le fruit de Monsieur nombre, et voila, on tourne en rond.
    Soyons raisonnable, et comme je le disais dans un autre texte, L’arbre se trouve avant le fruit, car c’est l’arbre qui donne le fruit.
    Entrer dans cette dispute que c’est le fruit qui donne l’arbre et non le contraire, est une dispute inutile. L’arbre donne le fruit, le fruit le pépin, et le pépin pourra donner un nouvel arbre. Un nouvel arbre, à travers le pépin, n’est pas un arbre, mais une promesse d’arbre, ce qui donne les fruits, ce sont les arbres, et non les promesses.

    De la même manière, une force ne peut être induite par elle-même, par rien, elle ne peut venir que d’un petit muscle. Ou aurions nous vue une force exister par elle-même, c’est la base même de la physique. Une force est un fruit, qui vient lui-même d’un arbre. La vie ne peut être engendrée que par la vie.
    Je suis donc désolé de la dire, mais toute force vient d’un petit muscle, et tous les petits muscles viennent de la vie, les mathématiques sont donc engendrés par la vie, et non le contraire.
    Depuis ce point de vue, Monsieur nombre prend les allures d’un bouffon, il n’est qu’un bon à rien, voulant nous imposer ses grimaces.
    De ce point de vue les mathématique, telle que nous l’entendons, ne sont qu’un gros tas de merde. Quand je dis gros tas de merde, c’est que les mathématiques ont pour fonction l’analyse, la digestion, pour alimenter un corps. Non la fascination du résultat de la digestion, à savoir la défécation, le tas de merde donc. Il serait temps de sortir de cette psychose.
    Tournant radicale, ou en peu de mot, il est prouvé que les mathématiques n’ont jamais existé. Avec sa sœur les sciences, elles ne sont que le fuit d’une obsession belliqueuse proche de la psychose, il ne s’agit que d’une prédiction de promesses, un peu comme l’astrologie. Quand je dis que 1 et 1 font 2, j’aspire à une promesse, rien de plus, reste à savoir si elle sera exaucé, cela, c’est une autre affaire.
    Tournant radicale, ou nous retombons sur nos pieds, vue avatariste du monde et de l’univers, ou tout n’est fait que d’arbres et de fruits.
    Le monolithe d’Arthur, plutôt que d'être vue comme un théorème, aurait due être entrevue comme un fruit dérivant dans l’espace et arrivant jusqu’à nous, une promesse. Là est la sagesse du monde et de l’univers.
    Pour ceux qui s’en tiendrait encore à leur amour pour Monsieur nombre, il leur suffit de déclarer qu’un nombre est un mystère. Telle le nombre 1, avec un petit chapeau sur la tête, et un petit soulié, une nué qui le couvrirait la tête et le pied, un voile de mystère qui lui donne d’autre possibilité que d’être lui-même, car dans ce bas univers, rien n’existe par soit même, tout est lié à autre chose, nombre mystérieux, nombre vivant, le 1, avec un petit quelques chose devant et derrière.

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