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Paradoxes, limitations,erreurs - Page 18

  • Paradoxes sorites

    Vous ne direz plus " gros tas " de la même façon en cliquant : ICI

    Et vous pourrez ainsi peut-être répondre plus facilement à la question : " Faut-il plus d'ennuis que de grains de sable pour faire un tas ? "

    Vous pourrez aussi noter en bas de la page que le paradoxe du "gruyère" se transforme en ... paradoxe de "l'emmental" en cliquant sur le lien!

    Pour une liste plus complète des paradoxes c'est ICI

    Une page de paradoxes mathématiques : ICI 

    En passant consulter le bêtisier de Wikipédia : ICI

  • Lewis Carroll : Tenir hors de portée des enfants

    Cliquez sur l'image pour une analyse synthétique sur la mathématique ( logique ) et l'étude sur le langage d'"Alice au pays des merveilles":

     

    medium_alice_au_pays_des_merveilles.jpeg
     

     

  • Facile ?

    Cette phrase n'est pas facile à comprendre.

  • BUP

    Le BUP, c'est le bulletin édité par l'union des professeurs de physique et de chimie. Un article s'attache à la différence ou à la ressemblance des notions enseignées entre le cours de mathématiques et le cours de physique.

    Globalement ça va.

    Il reste juste une légère imperfection entre les deux matières qui semble irréductible.

    En effet en physique, il est possible d'exprimer une quantité ( le terme est peu clair mais les physiciens travaillent à l'éclaircir ) de différentes façons avec des quantités différentes, par exemple, la puissance dissipée peut se calculer par P=RI^2=UI=U^2/R.

    Jusque là il n'y a aucun problème sauf qu'il n'existe qu'un seul nom pour la fonction puissance P en physique alors que les mathématiciens en prendraient 3 différents, un pour chaque expression.

    Je n'irai pas plus loin entre les quantités multifonctionnelles et les fonctions à plusieurs variables, mais tout ceci pour dire qu'une fois de plus le passage à la transcription semble bien source de paradoxes même au plus haut des sommets de la science.

    Je précise de plus qu'en ce qui concerne mon point de vue, le paradoxe ne se situe pas dans l'interstice du signifiant et du signifié, mais dans le phénomène de transcription lui même qui génère une limite et créé des catégories qui lui sont attaché!

  • Je ne sais pas quel est mon âge !

    Si je consulte ma maman, il n'y a aucun problème, ma date et mon heure de naissance sont claires. Mais je ne peux pas m'empêcher ces quelques remarques. Lorsqu'un enfant nait qu'est-ce que l'on considère comme heure de naissance, la sortie des pieds, de la tête ou la coupure du cordon? Enfin bref, dans tous les cas c'est une convention administrative assez grossière mais suffisante. Je ne peux pas m'empêcher non plus de considérer que la conception de ma personne s'est réalisée avant, dans le ventre de ma mère. Et les prématurés alors, on commence à compter leur âge à partir du 7ème mois, ou du 8ème mois, quelle injustice. Pas très précis tout ça. Maintenant considérons l'âge des atomes qui me constituent, là ça remonte à loin, lors de la formation de l'univers. Si un grand-père possède des atomes qui ont tous été créés après ceux de sa petite fille, il pourrait lui être des milliers voire millions d'années plus jeune qu'elle ! Et supposons maintenant qu'un observateur habite sur une autre planète qui s'éloigne ou à une vitesse assez importante de la terre. Alors mes pieds et ma tête n'ont pas la même vitesse par rapport à lui et donc comme les vitesses sont importantes, il semble que mes pieds et ma tête ne possèdent pas la même horloge !