Carrières en Maths
Un document PDF de la Société pour les Mathématiques Industrielles et Appliquées ( USA)
Nan, je ne traduis pas, pô le temps :D
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Un document PDF de la Société pour les Mathématiques Industrielles et Appliquées ( USA)
Nan, je ne traduis pas, pô le temps :D
Le laboratoire LJK est un nouveau laboratoire de Mathématiques Appliquées et d'Informatique créé le 1er Janvier 2007 à Grenoble. Il résulte du regroupement d'équipes de mathématiciens appliqués issues du Laboratoire de Modélisation et Calcul et du LabSAD et de spécialistes d'informatique graphique du laboratoire GRAVIR. Son domaine d'activités est celui des Sciences du Calcul. Calcul et traitement de données sont en effet les caractéristiques communes qui sous-tendent les modèles et des algorithmes conçus dans ses équipes. Ces calculs répondent à des besoins applicatifs dans des domaines variés allant de l'environnement à la finance, en passant par les sciences du vivant et la réalité virtuelle. Le laboratoire est structuré en 3 départements qui correspondent aux champs disciplinaires que nous couvrons.
Le département Géométrie & Images regroupe des équipes spécialisées en modélisation géométrique, traitement, analyse et synthèse d'images et de vidéos et vision par ordinateur. Les équipes du département Modèles et algorithmes déterministes développent des outils pour le calcul numérique et symbolique, les équations différentielles ordinaires ou aux dérivées partielles et l'optimisation. Le département de Statistique regroupe quant à lui des probabilistes, statisticiens et spécialistes de l'analyse des données et du traitement du signal. Le nom du laboratoire fait référence à Jean Kuntzmann (1912-1992) qui fut l'inventeur de l'informatique et des mathématiques appliquées à Grenoble.
Jean Kuntzmann : une courte biographie
Créateur du premier laboratoire français de calcul, en 1951, et parallèlement, du premier enseignement d'Analyse Appliquée destiné à former des ingénieurs mathématiciens en 1957, il est à l'origine de la création de l'ENSIMAG en 1960. De formation « classique » (Normalien, major de l'agrégation de mathématiques en 1934), sa vision de l'analyse et de l'algèbre est pour lui très vite indissociable du développement de l'outil informatique, et de la nécessaire ouverture vers l'industrie et les autres disciplines. A son initiative, l'enseignement de la programmation débute en 1956 à Grenoble. La même année, le Laboratoire de Calcul s'équipe d'un ordinateur Bull. Le tryptique Mathématiques-Informatique-Calcul sous-tend aussi ses activités d'enseignement et de recherches, qui vont de l'analyse numérique à l'algèbre de Boole. En se positionnant sur le champ des Sciences du Calcul, le LJK revendique résolument cette vision scientifique à l'interface entre Mathématiques et Informatique, au côté d'autres acteurs du site dans ces disciplines, notamment l'Institut Fourier et le Laboratoire d'Informatique de Grenoble.
Des vidéos et des animations explicatives du travail de ce laboratoire : ICI
Analyse, modèles et simulation: des mathématiques partout...
Les grandes conférences de Lyon : 1h45mns
Rassurez-vous je ne parlerai pas de maths...
Il en va des mathématiciens comme des français, quand vous leur dites quelque chose ils traduisent ça dans leur langage et ça devient incompréhensible. Goethe ?
Seuls les français peuvent expliquer ce qu'ils ne comprennent pas. Citation russe.
Les mathématiques ça appartient à tout le monde.
Quand je dis il y a des mathématiques partout, ça ne veut pas dire qu'il y a des mathématiciens partout.
C'est ICI
Dommage qu'il manque les images !
« Les industriels et les mathématiciens se parlent »
À l’initiative de la SMAI et du CNRS, un cycle de demi-journées est organisé pour présenter les applications des mathématiques dans l’industrie et les services de façon à renforcer les liens entre mathématiciens et industriels et à les étendre à de nouveaux domaines. Ceci concerne les mathématiques « déjà » appliquées (aux premiers rangs desquelles le calcul scientifique, les statistiques, la modélisation, l’optimisation...), mais aussi des mathématiques plus traditionnelles (géométrie, algèbre, analyse, logique, systèmes dynamiques...).
Les détails de ces manifestations sont : ICI
Au programme :