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Arts - Page 44

  • Les gravures de Patrice Jeener

    d923fa38b084ef034e95bf9040d8f9df.jpgLa première fois que j'ai vu Patrice Jeener, j'ai cru que c'était Merlin l'enchanteur avec une longe toge, ou peut-être Socrate, enfin un personnage atemporel, en dehors de tout temps et en particulier de celui qui s'écoule lorsqu'il réalise des gravures de formes mathématiques. Car pour faire de la gravure, il ne suffit pas de savoir dessiner, il faut prendre une plaque de cuivre...et son temps pour la graver. Les résultats sont surprenants et eux-aussi atemporels. Les gravures de Patrice mêlent la tradition de la gravure à la plus grande modernité, la matérialité du burin à l'immatérialité du calcul numérique. Les formes sont sans limites ainsi que l'imagination de l'artiste qui transforme, sur ces gravures récentes, quelques surfaces et volumes de l'espace en une allégorie joyeuse de la création divine.

    Je vous présente ici quelques gravures, dont la première, le S.M. orthorhombique m'a été envoyée par Patrice spécialement pour la publication sur ce blog.

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    On pourra découvrir la triple bouteille de Jeener-Klein, transcrite par J.F. Colonna :

     

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    Quelques gravures de surfaces minimales et extensions de Jeener ainsi que les transcriptions de J.F. Colonna: ICI

    Gravure sur cuivre et théorie des surfaces par Patrice Jeener : ICI

    A l'Institut Poincaré : ICI

    Les oeuvres de Patrice Jeener sont vendues entre 40 et 100 €  ICI et le site de présentation de Patrice est ICI

    Les reproductions des oeuvres que Patrice m'a autorisé à mettre en ligne sont ICI

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    On trouvera aussi dans cette revue des oeuvres de Patrice Jeener : ICI

  • Les ordinateurs deviennent experts en art !

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    Une équipe de recherches spécialisée dans la reconnaissance des formes par ordinateur, dirigée par le professeur Daniel Keren, a réussi à codifier et stocker dans la mémoire d'un ordinateur les techniques artistiques de plusieurs grands peintres.

    Les traits essentiels de représentations de la nature, des fleurs, des personnages, ainsi que de leur disposition ont été traduits en formules mathématiques donnant à l'ordinateur une certaine connaissance du style de chacun d'entre eux. Le nouveau logiciel permet à l'ordinateur d'identifier l'auteur d'une œuvre inconnue en comparant le modèle avec d'autres travaux, même s'il ne les a jamais vus.

    L'intégralité de l'article de Futura-Sciences : ICI

  • Theverymany: Regardez

     

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    Le blog Theverymany à parcourir intégralement ( en anglais) : ICI

    Adresse trouvée sur le blog Archiact : ICI

  • Maths ou musique : le dilemme

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    "J'ai tout simplement hésité longtemps entre la science et la musique, tant l'attrait des mathématiques était fort. J'ai passé un bac S parallèlement avec le conservatoire de Paris, afin de ne pas me fermer les portes des maths, et cette hésitation s'est prolongée après mon prix du CNSM, quand je me suis inscrite en MIAS - Mathématiques, Informatique et Applications aux Sciences - à la fac (hou là, ça remonte à loin maintenant...)
    Finalement la musique l'a emporté...."

    Delphine Lizé nous enchante d'abord par ses paradoxes. Née sous le soleil de Nice, elle est partie se réfugier dans les neiges et les brumes de Hambourg. Vouée, par on ne sait quelle malédiction maternelle, aux délices de la danse classique et aux joies du tutu, elle a fermement opté pour le piano, à l'évidence plus à son aise dans la gamme ascendante que dans le saut et le jeté. Princesse promise aux feux de l'amour, elle s'est plutôt abandonnée à la libido sciendi, cette frénésie du savoir qui a conduit cette amoureuse des mathématiques aux voluptés des sciences exactes. Mais, plus étonnant encore est ce mélange de puissance et de fragilité, d'évanescence et de présence, de gravité sérieuse et de chaleur humaine. Lizé, l'oxymoron... Quand elle apparaît toute menue, mince silhouette de noir vêtue, elle semble se poser, face à son piano, comme une flamme dans le silence. Mais dès que ses mains touchent le clavier, ne reste alors qu'un pur concentré d'énergie, une boule à vif habitée par la fièvre et l'urgence. Une funambule bravant crânement le vide.

    La suite de l'article de Télérama : ICI

    Le site de Delphine : ICI

    La page du Piano Bleu : ICI

     Photo :Jean-Marie Perrier/Intrada 

  • Les sculptures en papier de Jen Starck

    C'est ICI
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    Les professeurs de mathématiques les plus courageux pourront aborder le chapitre des suites numériques en utilisant ce cylindre...
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