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Éléments pour une mathématisation de Kernésis

 
1. Démarche
Kernésis peut être modélisé comme un système dynamique multi-échelles.
•Un état évolue dans un espace structuré (différents niveaux du réel).
•On agit dessus par des opérateurs correspondant aux piliers.
•Le système cherche à minimiser une action (combinaison de justesse, cohérence, incarnation).
•Les observables (joie, cérité, infractalité) évaluent la qualité de la trajectoire.
 
 
2. Variables
État : configuration du système (corps, psychique, collectif…).
Régulations : ajustements possibles (inhibition, activation, modulation).
Échelles : niveaux hiérarchisés (micro ↔ macro).
Posture : contrainte incarnée qui borne l’espace du possible.
 
 
3. Opérateurs (les piliers)
RIACP (~) : régulation dissipative, qui délie des rigidités.
ICPME (⟳) : cohérence verticale entre les échelles.
Posture-Flux (▭) : projection incarnée, respect des contraintes corporelles.
Flux-Joie (+) : lecture rétroactive de l’alignement.
 
Ces opérateurs se composent via le LOME, qui joue le rôle de syntaxe ou de rotule.
 
 
4. Résultats (observables)
Alignement : cohérence globale atteinte.
Joie : signal rétroactif de justesse.
Cérité : traversée effective du cycle des opérateurs.
Infractalité : intensification intérieure sans expansion externe.
 
 
5. Cohérence
•Les piliers agissent comme des opérateurs mathématiques articulés.
•Les observables sont des fonctions de l’état et des régulations.
•Le tout forme un contrôle optimal multi-échelles : ajuster pour maintenir l’alignement.

 

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