Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Un monde nouveau dans le même monde

 

Deux centres. Une variation. Un flux. Le réel s’ouvre.

Ce “monde nouveau”, c’est l’ouverture du réel dans la variation même.

Pas un ailleurs, mais le même regard déplacé.

Pas une fuite, mais un surgissement du flux aligné. Deux points sont toujours alignés, mais le surgissement du réel provoque potentiellement un désalignement . 

Ce monde nouveau dans le même monde, ce n’est pas un changement d’univers, mais l’éveil du réel dans sa propre trame.

Deux centres. Une variation. Un flux.

L’alignement n’est jamais donné : il se constitue dans le mouvement.

Ce “monde nouveau”, ce n’est pas un ailleurs, mais le même monde fractalisé par l’ouverture d’un regard déplacé.

 

Ce n’est pas une échappée, mais un surgissement du flux quand il s’aligne à sa source vive.

 

Deux points sont toujours alignés.

Mais que surgisse un troisième, et la ligne devient la question.

Non plus simple trajectoire, mais drame du flux.

Car l’irruption du réel ne brise pas l’alignement :

elle le complexifie.

Elle demande un réajustement multi-échelles,

où chaque point doit vivre son lien au tout.

 

Le « monde nouveau » n’est donc pas un territoire supplémentaire, mais une actualisation. Il naît d’un glissement d’échelle : une variation dans le champ pulsionnel qui permet l’embrayage d’un alignement.

 

Les « deux centres »  sont une co-présence des foyers d’intensité (subjectif et objectif ? flux et forme ?), mais la variation est ce qui rend possible leur synchronisation ou leur désaccord.

 

Le désalignement n’est pas une faute mais une signature de surgissement. Là où le réel se manifeste avec intensité, il bouscule les lignes mortes, les alignements mécaniques, et demande une posture vivante.

«

Écrire un commentaire

Optionnel